C’est parti pour les previews ! Toutes les équipes seront passées au crible et elles seront traitées en trois parties. Nous enchaînons de suite avec les attentes, que ce soit au niveau du jeu et au niveau des résultats. Mais attention, les attentes ne sont pas toutes les mêmes pour tout le monde. En l’occurrence, ce seront les attentes de la rédaction.
Le jeu
Depuis son arrivée, soit le moyen âge, Gregg Popovich prime pour un jeu individualiste, avec de l’isolation et des trois points. Plus sérieusement, les Spurs sont le contraire des Rockets où ils prônent la circulation de balle, tout comme les points de fixations et les tirs à mi-distance. Les systèmes sont maîtrisés, et bien exécutés, et surtout San Antonio prend son temps sur une possession. Bien évidemment, DeMar DeRozan et LaMarcus Aldridge auront leurs ballons, leur pick & roll mais les attaques ne dépendront pas forcément d’eux et de leur adresse. Par ailleurs, nous ne sommes pas à l’abri d’une blague de Pop’ pour faire rentrer Tim Duncan (et on veut voir ça). Les qualités de Dejounte Murray devraient aussi très exploitées, ce qui pourra amené de la vivacité et de la rapidité, notamment pour grappiller de points sur jeu de transition.
Les résultats
Place aux attentes sur les résultats et comme depuis deux-trois saisons, les Spurs devraient se qualifier pour les playoffs malgré la « vieillesse et un effectif en fin de cycle ». Il y aura plus ou moins cinquante victoires à la clé et seront honorés entre la sixième et huitième place. Gregg Popovich et ses hommes sont toujours présents, même si ça stagne en playoffs, malgré les départs des cadres.