Nouvelle chronique ! On réalise le cinq majeur parfait avec un sixième homme des dix dernières drafts. Bien évidemment, la draft 2018 ne compte pas car les jeunes n’ont toujours pas mis le moindre pied en NBA. Nous essayons de respecter les postes et d’être cohérent dans les choix. Au tour de la draft 2014 !
Meneur : Marcus Smart
Alors oui, ce n’est pas le meneur le plus talentueux, par contre, c’est le meneur le plus relou de la ligue, demandez donc à James Harden. La défense de fer, le meilleur en flopping, Marcus Smart a tout pour vous frustrer. En plus de ça, c’est clairement un joueur qui vous met le momentum en votre faveur. Un joueur de playoffs !
Arrière : Gary Harris
A ce poste, il y avait clairement des choix. Ce n’est peut-être pas celui qui fait le plus de stats, en revanche, c’est le joueur qui a le plus d’impact. Gary Harris est déjà dans le top 10 All-Time des Nuggets en terme de trois points inscrits et devrait rentrer dans le top 5 d’ici la fin de saison prochaine. Un 3&D discret, mais nécessaire.
Ailier : Andrew Wiggins
Souvent critiqué cette saison, il ne faut pas oublier qu’Andrew Wiggins est un joueur très fort en première ou seconde option. Le Canadien vous assure une bonne vingtaine de points chaque soir. Le talent est indéniable chez le joueur, la progression a été stoppée, néanmoins, l’arrière reste un joueur excellent.
Ailier fort : Julius Randle
Dégagez du passage, Julius Randle arrive en boulet de canon ! Lors de sa saison rookie, il n’avait disputé que deux minutes, et depuis le joueur formé à Kentucky connait une progression impressionnante des deux côtés du terrain. Défense, vision de jeu, coast to coast, l’ailier fort est un joueur très complet.
Pivot : Joel Embiid
Il est là le deuxième qui vous casse les c******* sur un terrain, via son trashtalking. Après deux saisons blanches et de nombreuses interrogations, Jojo Embiid a tout cassé jusqu’à devenir All-Star et franchise player d’une équipe visant le titre. En si peu de temps, le pivot camerounais a donné tord à un beaucoup de personnes.
Sixième homme : Rodney Hood
Il y avait également de la concurrence, mais comme dit Kobe, Rodney Hood est un joueur qui tournait à 17 points de moyenne dans la conférence Ouest, cela vous classe le joueur. Très bon dans ce rôle de sixième homme, l’arrière est une solution intelligente en sortie de banc. De plus, il est pas mauvais en attaque.