Nouvelle chronique ! On réalise le cinq majeur parfait avec un sixième homme des dix dernières drafts. Bien évidemment, la draft 2018 ne compte pas car les jeunes n’ont toujours pas mis le moindre pied en NBA. Nous essayons de respecter les postes et d’être cohérent dans les choix. Au tour de la draft 2009 !
Meneur : Stephen Curry
A son poste, c’est difficile de trouver mieux que lui. Lorsqu’il est chaud patate, Stephen Curry est tout simplement indéfendable. Même une main devant lui ne suffit pas. Triple champion NBA, double MVP, le meneur des Warriors n’a pas besoin de longues minutes afin de s’adapter à différentes défenses ou plans anti-Curry. Il ne pense qu’à son équipe, voire pas assez à lui, on est presque sur un joueur parfait.
Arrière : James Harden
Enfin, James Harden a eu son trophée de MVP, il peut dormir tranquille. L’arrière pose bien trop de problèmes aux défenseurs adverses, il peut effectivement se sortir de toutes situations. Offensivement, c’est une bête et défensivement il est bête. La fusée des Rockets, c’est lui qui la lance à chaque fois.
Ailier : DeMar DeRozan
Si vous accumulez avec James Harden, vous avez environ 63 lancers francs par match avec une énorme réussite. DeMar DeRozan a enfin tourné son jeu, plus tourné vers le playmaking avec une amélioration à trois points. Par contre, dès que les playoffs arrivent, les pourcentages sont en chute libre. On espère désormais qu’il ne tombera pas dans la conférence de LeBron…!
Ailier fort : Blake Griffin
Avec les passeurs dont il dispose, Blake Griffin pourrait s’éclater dans cette équipe. L’ailier fort est juste trop fort, et aux Clippers il a commis de nombreux meurtres à commencer par Pau Gasol ou Kendrick Perkins. A Detroit, Blake Griffin s’est calmé certes, mais il reste une menace pour tout le monde.
Pivot : Taj Gibson
Dans cette équipe de stars, il faut bien un soldat minimum, et Taj Gibson répond parfaitement aux critères du col bleu idéal. Sacrifice, énergie, hustle, l’ancien joueur des Bulls fera le boulot à votre place et ça arrange tout le monde. Il donnera son corps à la science, sans la moindre hésitation, et çela fait de lui un coéquipier idéal.
Sixième homme : Jrue Holiday
Nous aurions pu donner les clés de la second unit à Jeff Teague, néanmoins, Jrue Holiday mérite plus de reconnaissance. Complet aussi bien défensivement qu’offensivement, le meneur peut-être le leader du banc. Il montre l’exemple et encore une fois, il ne sera pas mis sous les projecteurs et c’est dommageable.