Vous connaissez la règle maintenant. Outre l’actualité, on vous lâche 2 à 3 anecdotes/histoires par jour, pour étoffer vos connaissances. Cette fois, le sujet est plus léger car on revient sur l’histoire assez drôle de Dwight Howard et ses lancers.
Décidemment, le couple Carter prend de la place sur la ligne des lancers. Candace Parker racontait récemment qu’elle chantait le classique « Song Cry » pour se concentrer et effectivement les chiffres ne mentent pas. Pour l’ancien « Superman », c’est un peu différent. A sa première saison, il est plutôt fort pour un pivot, avec un bon 67.1%. Ce sera son meilleur pourcentage en carrière et il n’arrivera plus jamais à égaliser ce chiffre. A ce moment de sa carrière, il engage un psychologue qui travaillait avec Tiger Woods, pour s’améliorer aux lancers. Il tente aussi de chanter sur la ligne mais les progrès ne sont pas vraiment là. Pour lui, la négativité a un gros rôle et laisse son mental l’affecter :
« Les lancers, tout est mental. A l’entraînement, je ne rate pas. A l’échauffement, je ne rate pas. Quand je suis en match, j’entends les gens dire « Il va rater », et ça rentre dans ma tête. »
Il tente alors une dernière solution de recours. Fan de musique, on a pu le voir récemment lors d’une performance à la télé, Dwight Howard chante du Beyoncé pour contrer la malédiction mais les chiffres empirent. Finalement, sa fin de carrière évolue. Sur les 4 dernières saisons, il a shooté 4 fois à 57% ou plus, un sacré miracle pour lui :
« J’avais l’habitude de chanter des chansons de Beyonce, c’était mon truc. Je lui ai dit quand je le vais, je lui ai dit « Quand je chante ta chanson, je mets mes lancers », elle avait l’air d’apprécier. »
C’est devenu un peu moins important depuis qu’il est rôle player mais quelques lancers ici et là à Houston, Los Angeles et surtout Orlando aurait sans doute aider en playoffs.
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