Connect with us

Analyses

Le 5 majeur de la Draft 2012 : Lillard à la mène, Davis à l’intérieur, pas mal pour monter une team

Source photo : Sporting News
Nouvelle chronique ! On réalise le cinq majeur parfait avec un sixième homme des dix dernières drafts. Bien évidemment, la draft 2018 ne compte pas car les jeunes n’ont toujours pas mis le moindre pied en NBA. Nous essayons de respecter les postes et d’être cohérent dans les choix. Au tour de la draft 2012 !

Meneur : Damian Lillard

Le timing n’est pas forcément bon puisqu’il est à l’heure actuelle toujours dans la poche de Jrue Holiday, mais c’est bien la première fois que Damian Lillard a déçu. Sinon, le rappeur des Blazers a toujours répondu présent en saison (notamment le mois de février) ou en playoffs. D’ailleurs, il sait un peut tout faire offensivement et puis c’est un sacré leader.

Arrière : Bradley Beal

Le style de jeu de Bradley Beal est similaire à CJ McCollum. Par conséquent, il serait très complémentaire avec le meneur des Blazers. D’autant plus que cette saison, le panda a franchi un cap en portant son équipe pendant la blessure de John Wall. Offensivement, ça dégaine rapidement, ça peut aussi driver proprement.

Ailier : Harrison Barnes

Le choix de départ était de mettre Harrison Barnes en sixième homme. Ensuite, on s’est rappelé qu’il n’a jamais vraiment réussi dans ce rôle aux Warriors. Du coup, il serait parfait comme joueur de complément, comme soldat, à convertir les tirs ouverts tout en étant solide défensivement. Son rôle ressemblerait finalement à…celui qu’il a connu à Golden State.

Ailier fort : Draymond Green

C’est un fait : Draymond Green rend tout le monde meilleur aux Warriors. Il n’y a qu’à voir le la réussite de Steph Curry sur catch and shoot lorsqu’il reçoit une passe de son ailier fort préféré. En plus de cela, quelle équipe voudrait se passer d’un des meilleurs défenseurs de la ligue, qui casse les cojones de ses adversaires ? Aucune équipe ne se passe de lui.

Pivot : Anthony Davis

Formé en tant que meneur, Anthony Davis dispose d’un handle de fou, et rajoutez à cela un tir mid range, un tir longue distance, et des moves extraordinaires. Oui, c’est ça, cela fait un joueur phénoménal, que seuls les blessures peuvent le stopper. Sinon, il met la misère à tout le monde et c’est du 30-15-4 tous les soirs.

Sixième homme : Khris Middleton

C’est vrai qu’on aurait pu le mettre starter, cependant, Khris Middleton est plus apte (d’après nous) à porter une second unit qu’Harrison Barnes. Très polyvalent, le joueur des Bucks peut se mettre en évidence en iso et dans le même temps être un playmaker. C’est un joueur très sous estimé, et ça s’est vu le soir de la draft, car il a été sélectionné en 39ème position.

Clairement, cette équipe pourrait faire très mal. Une raquette quasiment impassable en défense, qui peut défendre aussi bien sur des grands que sur des petits. De l’autre côté, il n’y a rien à dire puisque c’est très fort. 
Click to comment

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Nouvelle superstar d’ESPN, l’histoire incroyable de Malika Andrews

L’incident d’une vie : Marcus Smart a failli se faire fumer par un gangster des Bloods

More in Analyses