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Analyses

Le 5 majeur de la Draft 2008 : Rose et Westbrook vont au cercle, tout le monde s’écarte !

Source photo : Slam

Nouvelle chronique ! On réalise le cinq majeur parfait avec un sixième homme des dix dernières drafts. Bien évidemment, la draft 2018 ne compte pas car les jeunes n’ont toujours pas mis le moindre pied en NBA. Nous essayons de respecter les postes et d’être cohérent dans les choix. Au tour de la draft 2008 !

Meneur : Derrick Rose 

A son prime, il n’y a rien à dire dessus, c’est une bête. Plus jeune MVP de l’histoire, Derrick Rose était un phénomène, et encore aujourd’hui il a de beaux restes. Un shoot pas très développé mais alors dans les airs, il est injouable. L’ancien meneur des Bulls était en avance sur les qualités athlétiques et le joueur d’Adidas a beaucoup trop compté sur ça. Néanmoins, c’est dommage que ça a pas vraiment duré car c’était de loin de le meilleur meneur de sa génération.

Arrière : Russell Westbrook

Bon c’est clair que ce sont globalement les mêmes profils, mais cependant, cette équipe dispose de deux monstres sur la ligne arrière. Russell Westbrook est encore plus fou que D-Rose lorsqu’il s’agît de s’aventurer dans la raquette. Certes, ce n’est pas un shooteur d’élite, il a toutefois trouvé le moyen de tourner deux saisons en triple double de moyenne (et c’est pas fini). MVP aussi, on a peut-être un duo totalement indéfendable pour les pivots qui veulent protéger le cercle.

Ailier : Danilo Gallinari 

Nous avons longuement hésité avec Nicolas Batum. On a finalement choisi Danilo Gallinari car c’est un joueur largement plus régulier que le français. L’italien est peut être moins complet mais il peut malgré tout se noyer dans ce collectif. D’ailleurs à New York ou à Denver, l’ailier avait toujours des choses à montrer, et il s’en est toujours bien sorti.

Ailier fort : Kevin Love

Lui aussi fait partie de la famille « injury prone ». Par contre, si en enlève toutes ses blessures, Kevin Love est un monstre, capable de tout faire, bien qu’il soit un peu soft. Shoot, post-up, scorer c’est tellement facile pour lui. En revanche, en défense c’est catastrophique. Etre le troisième option d’une équipe convient très bien à l’ancien intérieur des Wolves.

Pivot : Brook Lopez

Cette équipe serait parfaite si elle était coachée par Mike D’Antoni : tout le monde attaque, personne défend et ça shoote énormément à trois points. Plus sur le frontcourt que sur le backourt d’ailleurs. Brook Lopez a évolué avec le temps et quelque soit le style de jeu, le pivot va réussir à se mettre en évidence. Cet homme est le meilleur scoreur de l’histoire des Nets, rien que ça !

Sixième homme : Eric Gordon

Eric Gordon vs Goran Dragic, c’était le duel pour être le sixième homme de cette équipe. Sauf que l’arrière des Rockets a déjà remporté le titre de sixième homme de l’année, donc il est plutôt habitué à porter un second unit. Le coéquipier de James Harden prend d’ailleurs souvent les choses en main quand les stars sont en panne d’adresse.

Il faut shooter à trois points ? Pas de problème avec le frontcourt ! Il faut driver ? Pas de problème avec le backourt ! Il faut défendre ? Problème ! Cette équipe a presque réponse à tout !

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