Les Ball sont des joueurs fantastiques, plus particulièrement Lamelo Ball et Lonzo Ball. La jeune star des Hornets révèle à la presse comment lui et ses frangins sont devenus ambidextres et l’importance du paternel dans son apprentissage de la vie pro. Papa a veillé au grain pour qu’ils deviennent des bons joueurs dès leur plus jeune âge, même en travaillant loin des terrains.
Beaucoup de papas rêvent que leurs rejetons deviennent des joueurs professionnels. Pour LaVar Ball, le plan était déjà écrit et on peut dire qu’il a réussi. A l’échelle mondiale, il a réussi sa mission, y compris pour Gelo, lui qui n’a malheureusement pas eu la carrière de ses frangins. Il a coaché ses fistons depuis leurs premiers pas et l’un de ses secrets a été révélé. Pour qu’ils soient des bons joueurs, Lavar Ball a fait en sorte que ses fils soient à l’aise tant de la main gauche que de la main droite. On peut dire qu’il a réussi, que ce soit à la passe, au rebond, au contre et surtout pour scorer, ils réussissent à être efficaces. Cette histoire peut rappeler celle de Lebron James, qui est aussi doué des deux mains. Lamelo Ball raconte comment lui et ses frangins ont réussi à devenir ambidextres à travers les années :
« Moi et Gelo, nous sommes nés gauchers et puis notre père nous a changé. Parce que quand nous étions à table, Lonzo et mon père étaient droitiers, nos coudes se touchaient, donc il nous a fait manger de la main droite. Ce n’est que lorsque je suis parti de la maison que j’ai pu recommencer à manger avec la main gauche et à faire des choses avec. Mais clairement, ça m’a aidé pour le basket. »
Lamelo Ball en rajoute une couche vis à vis de ses coéquipiers ou adversaires. Beaucoup ont dû travailler pour devenir « bon » de la main faible. C’est tout le sauf le problème de la star du Hornets. Il n’a pas de main faible et dribbler de la main gauche ou de la main droite, ne change absolument rien pour lui. Son père a eu une grande influence à travers les années. Voyager dans le monde l’ai aidé à être prêt pour la grande ligue, connaître de nouvelles cultures, des gens plus âgés, un environnement professionnel, sans avoir toute l’aisance (et la richesse) de la NBA. Parfois, il faisait 20 heures de bus, juste pour un match de basket et forcément, avec tous les millions, les beaux hôtels et les belles voitures, il lui arrive d’être un peu nostalgique de cette existence simple à l’époque. Aujourd’hui, il répond aux attentes après avoir été élu rookie de l’année et performant dans une équipe compétitive. Lamelo Ball frôle les 20 points 8 rebonds et 8 passes par match. Pas mal.
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