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Analyses

Quand il y a Raptors, il y a choke qui va avec : coaching zéro et DeRozan se fait dessus pour la victoire !

Source photo : Sporting News
Hier soir, Boston l’a emporté sur le fil. Un gros collectif mais surtout un Derozan puis un Ibaka qui ratent le coche pour la victoire. C’est l’heure de pointer la superstar de Toronto du doigt, ainsi que son coach…

Toronto avait fait une belle pré-saison et un bon début de saison. La balle tournait magnifiquement, tout le monde participait et on voulait croire à une nouvelle équipe. Lors de l’été, Dwane Casey avait déclaré que la philosophie de l’équipe allait changer. Fini le « hero-ball », fini les isolations et les briques. Après un mois de compétition, les vieux démons sont revenus toquer à la porte de Toronto.

A l’image du match contre Washington, le coaching a été catastrophique. Bien entendu, on ne parle pas du plan de jeu car il y en a pas. Ce qu’on évoque ici, ce sont les rotations foireuses de Dwane Casey. Du genre, pourquoi foutre tous tes intérieurs en même temps sur le terrain. Il en va de même quand il fait jouer ses remplaçants à la Scott Brooks. 

Il n’est pas le seul à blâmer car un certain Derozan n’a pas été au niveau non plus. D’entrée de jeu, il se fait manger par Jaylen Brown. Il doit attendre de changer de match-up, afin d’être efficace. Pendant le money-time, il termine à 0/2 dans la dernière minute. Un 0/2 tragique car dans les deux cas, c’était un shoot pour la victoire. Il ratera le game-winner face à … Jaylen Brown. !

Tranquillement, il fait ses statistiques, il met 24 points (8/22 au shoot). Sur la saison aussi, il salit la feuille de statistiques avec 24.7 points de moyenne avec 4.2 rebonds et 3.5 passes. Il a beaucoup progressé à la création et aussi au shoot à 3 points. Avec un Lowry qui ne tourne même pas à 15 points de moyenne, c’est à lui de prendre les clés du camion, comme face à la Nouvelle Orléans.

Il est l’heure de le traiter comme une superstar car c’est ce qu’il est censé être. Vu ce qu’il a produit hier soir, il a tout simplement eu aucune cojones. Des choix de rookie, en s’éloignant du cercle, alors qu’il aurait dû foncer dedans, au lieu de prendre des shoots compliqués. Si son shoot au buzzer est censé être son go to move, il a échoué et c’est tout ce qu’il faut retenir. DeRozan est un bon joueur en fin de match mais il n’est pas clutch, si on devait le comparer aux poids lourds de la ligue. On l’a vu sortir énervé et il a raison de l’être car à l’heure d’aujourd’hui, il ne sait pas step-up face aux plus gros.

Toronto a toujours les mêmes problèmes et bien entendu que ça part du coach., néanmoins, Derozan doit se regarder dans la glace. Non pas pour ses boutons mais pour son équipe !
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