La saison commence ce soir et les rédacteurs ont donné leur avis. On voit la vie en rose, sauf pour l’intrus qu’on ne nommera pas, enfin pas tout de suite.
Maxime : Brad Stevens
L’an dernier, il a remis Boston au sommet de la Conférence Est, mais il n’a même pas fait fait parti du trio de finalistes pour la récompense. Cette année, Brad Stevens va avoir l’occasion d’affirmer définitivement qu’il est un coach fabuleux. Avec un effectif totalement reconstruit autour d’un big three Irving-Hayward-Horford, l’ancien de Butler a de quoi construire quelque chose de solide, capable d’aller chercher une nouvelle fois la première place. Et quand on voit le boulot qu’il a effectué en NCAA comme en NBA, on s’attend déjà à ce qu’il nous régale et à ce qu’il soit (enfin) récompensé.
Baptiste : Erik Spoelstra
L’an dernier le Heat a fait un push monstrueux pour accrocher les playoffs, en vain. On a beaucoup remis en question le rôle de Spoelstra pendant les années LeBron, mais il nous a prouvé l’an dernier qu’avec un effectif assez homogène sans véritable star (Whiteside est une star en devenir), il était capable de belles choses. Cette année, le Heat va (selon moi) accrocher un spot en playoffs, et il en sera un des grands artisans.
Stephane : Brad Stevens
Après le boycott de l’année dernière (pas nominé), il serait temps qu’il obtienne la récompense de son taff immense avec Boston. Et avec un effectif qui ressemble de plus en plus à sa philosophie, il aura toutes les pièces pour constituer son puzzle vert.
Tsirofo : Brad Stevens
Même topo que Maxou. Rien que le fait de l’avoir snobé l’année dernière, il le mérite cette année. Fin de citation.
Pierre : Brad Stevens
Je suis fan des Lakers, il y a quoi ? Le coach de Boston a subi le plus gros changement d’effectif et fait des ajustements précieux. Avec la côte de Kyrie Irving et sans doute une saison minimum à 50 victoires, le trophée peut être pour lui ou du moins un petit podium.