Nouvelle chronique ! On réalise le cinq majeur parfait avec un sixième homme des dix dernières drafts. Bien évidemment, la draft 2018 ne compte pas car les jeunes n’ont toujours pas mis le moindre pied en NBA. Nous essayons de respecter les postes et d’être cohérent dans les choix. Au tour de la draft 2011 !
Meneur : Kyrie Irving
Premier choix de la draft 2011, Kyrie Irving peut littéralement tout faire en attaque. Shoot, drive, move, cross, le meneur des Celtics fait la totale à son défenseur. Même si c’est le néant de l’autre côté du terrain, le champion NBA 2016 peut vous faire gagner un match (ou un titre d’ailleurs) avec des actions incroyables. LeBron s’en souvient encore.
Arrière : Klay Thompson
Klay Thompson, c’est la version élite du 3&D puisque c’est un monstre en défense, et également un monstre longue distance. Capable des plus gros coups de chaud de la planète, l’arrière est fantastique dans son rôle de lieutenant++. Dans n’importe quel système, c’est le joueur parfait car il peut s’adapter à tout en quelques secondes seulement.
Ailier : Jimmy Butler
Vous pensez avoir fait le plus dur en provoquant des fautes sur Klay et vous tombez ensuite sur Jimmy Butler, c’est vraiment pas cool. Certes, l’ancien joueur des Bulls ne serait pas très utile sans la balle dans ses mains, mais alors quel tueur ! Et puis, dans cette équipe, il a de très bons joueurs sans ballon.
Ailier fort : Kawhi Leonard
Klay est fouled out, Butler se blesse et vous vous retrouvez face à face avec Kawhi Leonard, c’est écœurant. En plus d’être un des meilleurs défenseurs de la ligue, l’ailier des Raptors (ça fait toujours bizarre de l’écrire) est d’une remarquable efficacité en attaque. Tellement précieux qu’une franchise ne peut pas se passer de lui.
Pivot : Tristan Thompson
Vucevic, Valanciunas, Kanter, on aurait très bien pu choisir le pivot parmi eux. Finalement nous avons opté pour Tristan Thompson pour une chose simple : le pivot des Cavaliers est plus apte à switcher sur des petits que les trois autres joueurs cités précédemment. En plus de ça, il fera le ménage au rebond et se sacrifiera dans le même temps.
Sixième homme : Isaiah Thomas
Là encore, il y a eu une hésitation, cette fois avec Kemba Walker. Toutefois, la raison l’a emportée assez facilement puisque Isaiah Thomas a déjà été sixième homme (Suns, Lakers), et c’est évident que son rôle lui convient bien. Scoreur, le meneur peut largement prétendre au titre de sixième homme tant il est fort dans ce domaine.
C’est une équipe pétrie de talent, et malgré les égos, cette équipe serait excellente dans la NBA moderne. Pourquoi ? Le small-ball tout d’abord, les switchs défensifs ensuite et enfin car il y a des rôles précis et définis.