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The Real Stephen Curry était de retour : +41 pour les Warriors qui écrasent les Rockets à l’Oracle Arena !

Source photo . NBA
Après un Game 2 qui avait offert une très belle réaction des Rockets, on avait franchement hâte de voir s’ils pouvaient réaliser ce genre de performances sur le parquet des Warriors. Alors, si vous avez vu le titre, vous savez déjà que la réponse est non. Maintenant on va vous raconter pourquoi c’est un ENORME non !

En ayant piqué l’avantage du terrain lors de leur road trip au Texas, Golden State avait réalisé une bien belle performance. Malgré tout, on était assez déçu de ne pas voir Stephen Curry à son aise, lui qui paraissait franchement hors de rythme depuis son retour de blessure. Encore une fois, vous avez lu le titre donc vous avez compris que BabyFace a sorti le grand jeu cette nuit, mais bon sang que ça avait mal commencé…

Ciblé une nouvelle fois en défense, le meneur des Warriors offrait des pénétrations assez faciles aux extérieurs des Rockets dans le premier quart-temps et permettait à James Harden de distribuer le ballon facilement à  Ariza ou Capela sous le cercle. Le rythme était élevé et les deux équipes se rendaient coup pour coup, l’avantage au tableau d’affichage changeant à chaque possession ou presque. Alors on n’a pas de micros pour savoir ce que Steve Kerr a dit à ses hommes pendant le temps-mort, mais c’était efficace : malgré le triste 1/7 à distance de Curry, les Warriors ont déroulé en attaque, notamment par Kevin Durant pour compter 9 points d’avance à l’issue du premier acte : 31-22.

Il faut dire que la défense des champions en titre avait activé le mode verrou, et le genre ceinture de chasteté hein ! Forcément ça agace Mike D’Antoni qui lance des regards d’assassin à son équipe sur chaque possession. Surtout que les Rockets ont eu fâcheuse tendance à manquer les quelques layups faciles qu’ils arrivent à se procurer. Chose que ne fera pas Kevin Durant, très adroit une nouvelle fois ce soir avec déjà plus de 15 points sur la mi-temps. L’écart ne diminue jamais et c’est sur le score de 54-43 que les deux équipes reviendront au vestiaire.

11 points d’avance au basket, c’est un écart qu’on a vu être remonté de nombreuses fois. Sauf que quand tu as la chance de voir les Splash Brothers à 4/18 au tir dont 1/9 à 3 points et que tu es quand même mené de 11 points… c’est mauvais signe. Dès leur retour sur les parquets, les Warriors vont infliger un cinglant 10-0 en deux minutes de jeu. Mike D’Antoni continue de virer au rouge pendant son temps-morts, mais voit Harden et Capela efficaces pour à leur tour infliger 8-0 à leurs adversaires. Et là vous vous dites peut-être :  » Non mais au bout d’un moment il a été bon Curry ou pas ? ». On vous rassure, le moment est venu ! Alors qu’on était les premiers à critiquer son niveau de jeu du soir, notamment sur Twitter, le numéro 30 a pris feu à 3 points : un petit cours de danse à James Harden avant de bombarder à 9m, des layups en pénétration, du floater tout en touché, la totale ! C’est bien simple, en quelques minutes, Stephen Curry a inscrit pas moins de 18 points ! (35 au final)

 

Forcément, les Rockets ne suivent absolument le rythme de folie qu’on leur dicte et l’écart atteint déjà les +21 au moment d’entamer le dernier acte. Et le pire restait à venir… Oui, même pendant le garbage-time, l’intensité des Warriors n’a pas faibli, de quoi faire subir un 38-18 sur la période à Houston… Absolument à la rue lors des transitions, ils n’avaient plus le jus pour attaquer efficacement. Et des transitions il y en a eu ! 19 pertes de balles côté Texan, soit autant que de passes décisives. Autant vous dire que le spectacle devenait gênant, même pour nous qui n’avons pas de parti pris dans cette série. 126-85, le coup de sifflet final sonnait comme une délivrance pour les Rockets, qui vont avoir de quoi visionner avant d’aller disputer le Game 4. D’ailleurs, profitez des highlights qu’on vous met en disposition, elles risquent de se retrouver sur youporn assez rapidement.

On l’a souvent dit, entendu, au point de trouver l’affirmation parfois banale mais : Oui, le seul véritable adversaire NBA des Warriors, ce sont eux-mêmes ! Quand ils jouent de cette manière, les arrêter paraît impossible. Maintenant, les Rockets ont déjà prouvé qu’ils pouvaient les contrarier et les empêcher de jouer leur jeu. Mais, arriveront-t-ils à le faire à l’Oracle Arena ? Réponse dans la nuit de Mardi.
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