La semaine dernière, nous vous présentions la chaîne youtube « NBA Stories ». Cette fois-ci rendez-vous avec Luka Doncic et son parcours incroyable d’un gosse avec la coupe de Griezmann, jusqu’à devenir l’un des meilleurs joueurs du monde.
Il est LE futur de la NBA avec Zion Williamson, le documentaire du jour vous emmène dans le monde de « Luka Magic », dès sa plus tendre enfance. 7 ans, voilà l’âge de Luka lorsqu’il commence le basket. Il joue souvent contre des camarades plus grands, ce qui l’a aidé à devenir plus fort et surtout utiliser son QI Basket à bon escient et le développer. Spanoulis était son joueur préféré, c’est ainsi pour cette raison que Luka Doncic portait son numéro 7 fétiche. Si tout va bien sur les terrains, ce n’est pas vraiment le cas à la maison, avec ses parents qui divorcent. De ce fait, Luka Doncic deviendra très proche avec sa mère et sa relation avec son père se détériore d’année en année. Sa maman est d’ailleurs très présente dans ce sujet. Le garçon est tellement fort qu’à 13 ans, il rejoint le Real Madrid. Il est difficile pour lui, en tant qu’ado, de s’adopter à un nouveau pays, sans ses parents. A seulement 16 ans, il joue son premier match pro !! La saison suivante, il devient un joueur solide et fait partie de la rotation. Alors qu’il n’a que 18 ans, la Slovénie sera championne d’europe et à la rentrée, il devient titulaire à la mène, pour finalement remporter l’euroleague.
Après cette saison, il vient naturellement en NBA, son plus grand rêve. Alors superstar de l’europe, ce n’est pas le cas aux States et il va devoir faire ses preuves. C’est ainsi que Dallas lui a ouvert les portes et Mark Cuban a réussi encore à recruter un crack européen, en 3ème choix lors de la draft 2018. Dirk Nowitzki passera logiquement le flambeau à Luka Doncic. Son début de saison est stratosphérique et il devient vite le chouchou de la NBA entière. Il est logiquement élu rookie de l’année. Après la retraite de Dirk, Dallas entame un nouveau chapitre de sa franchise et les Mavs recommencent à faire peur. Ce n’est que le début du prodige…