Kemba Walker encore trop seul : après Washington, DeRozan est encore clutch contre Charlotte !

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Nouveau match à l’extérieur et nouvelle défaite pour les Hornets. Ils auront bon tenté un dernier run mais au final, ils se sont inclinés face à la meilleure équipe de l’est (103-98).

Il est mauvais de jouer Toronto en ce moment. 11 victoires en 12 matchs et seul Milwaukee avait réussi l’exploit de pouvoir prendre un match.
DeMar DeRozan n’est pas vraiment connu pour être un clutch-player. Pas  mauvais dans le domaine, il n’a pas non plus le sang glacé de Kyrie Irving. Contre Washington, il avait été un closer impeccable avec un jumper à deux minutes de la fin du match. Le numéro 10 de Toronto, a encore fait le coup hier soir. D’abord à 3 points, sur une action en un contre un, puis sur un and one ! Résultat ? 6 points en moins d’une minute, qui permet de tuer le match, après que Lowry ait mis un 3 points important, qui avait mis Charlotte à 5 points. Il n’aura marqué que 19 points mais avec un gros collectif, il a su garder ses forces, pour le meilleur des moments, encore une fois !

Les Hornets auront tout donné. Ils ont malheureusement raté leur première mi-temps. Notamment en laissant Jonas Valanciunas à 3 points, Charlotte a bien du mal à tenir offensivement et ce n’est pas vraiment une surprise. Encore une fois, personne ne prend ses responsabilités dans le cinq de départ, hormis Kemba Walker. Aucun joueur n’atteindra les 10 shoots… Pendant ce temps-là, le meneur de jeu est obligé de tenter des shoots, qu’il ne devrait pas et le résultat est vilain : 27 points à 8/23 au shoot, 3/12 à 3 points…

Jeremy Lamb aura beau trouvé de l’énergie dans le 4ème quart-temps pour un ultime come-back, Toronto est trop expérimenté pour craquer. Charlotte est en train de se déchirer lors de son road-trip. Même si ce n’est pas officiel, on ne voit pas comment les coéquipiers de Nicolas Batum, arriveront à décrocher un spot pour les playoffs. Trop faibles offensivement, indisciplinés dans les moments importants, les Hornets devraient rater la post-season, à moins de finir avec 100% de victoires…

Même si les statistiques individuelles des Raptors sont moins ronflantes que les années précédentes, l’équipe de Dwayne Casey semble plus prête que jamais pour le printemps. On a hâte de voir ça.