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Joel Embiid se fout ouvertement de Houston : « On les a battu de 30 points, c’était vraiment fun. Mais je ne pense pas que ça l’a été pour eux »

Source photo : Clutchpoints

Il avait bien failli ne pas jouer hier soir face aux Rockets. Alors non seulement il a joué, mais en plus de ça il a dominé. Et histoire de parfaire le tableau, il a ensuite parlé dans les médias. Sans oublier qu’il s’est chauffé avec la barbe.

SixersRockets. La plus grosse affiche NBA sur le papier de ce MLK Day a finalement été à sens unique et le score fut sans appel : 121-93 pour les 76ers. Avec Jimmy Butler out, c’est Joel Embiid (32 points, 14 rebonds, 2 interceptions et 3 contres) qui a pris les commandes de son équipe, avec notamment une énorme première mi-temps où il affichait déjà une fiche statistique bien sale : 24 points, 7 rebonds et 2 contres. Il faut dire qu’en face, James Harden faisait son show, avec 27 points à son compteur personnel sur la même période.

Quand on voit le niveau du Camerounais, on a du mal à croire que Brett Brown envisageait réellement de ne pas le faire jouer en raison de ses blessures au dos. Mais comme il le dit lui-même, Embiid voulait être présent pour ses coéquipiers, peu importe les conséquences, surtout en sachant que Jimmy Butler manquait à l’appel. Niveau motivation, il en avait une autre apparemment, celle de faire taire ceux qui voyaient à l’avance James Harden prendre le dessus dans leur duel à distance.

 » C’est un grand joueur, il peut faire énormément de choses sur un terrain. J’ai beaucoup de respect pour lui, mais vu leur façon de jouer, il faut se concentrer sur lui et lui rentrer dedans, l’épuiser. J’adore affronter ces gars que vous affirmez meilleurs que moi. C’est pour vous prouver que non, ils ne le sont pas. J’adore ! On les a battu de 30 points donc c’était fun. Mais je ne pense pas que ça l’a été pour eux.  » Joel Embiid via ESPN

Bon, l’écart n’était « que » de 28 points, mais ça ne change rien au fait que Joel Embiid n’est pas juste un très gros trashtalker. Il est bel et bien avant tout un énorme leader et compétiteur. Rien de plus logique alors que d’entendre Brett Brown dire qu’il kiffe l’état d’esprit de son équipe et le voir optimiste pour les playoffs à venir.

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