Trop clutch, trop fort, trop Lebron : 12 de ses 38 points inscrits dans les 5 dernières minutes, Indiana a l’habitude

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Cette nuit, Indiana débarquait pour rencontrer une veille connaissance : un certain Lebron James. Rien a changé, même si c’est le cas de la conférence. Le King a fait sa loi et les Lakers remportent un gros succès, malgré que ce fut bien vilain.

Lebron James et Indiana, c’est une grande histoire d’amour, demandez donc à Lance Stephenson. Encore plus que Boston, Lebron a donné des sueurs froides aux fermiers d’Indianapolis. Des demies, des finales de conférence, des premiers tours où les joueurs d’Indiana n’ont jamais pu réussir à taper le King. Le numéro 23 est sans doute le pire cauchemar, avec un autre numéro 23, Michael Jordan. Malheureusement pour eux, cette nuit n’a pas échappé à la règle avec une nouvelle défaite mais sans Victor Oladipo, que ce fut compliqué. Indiana a quand même tout donné et comme si souvent face à Bron, tout a été presque parfait pendant 3 quart-temps, avant que l’ouragan vienne en plein de leur face.

38 points, 9 rebonds et 7 passes. Il faut ajouter à l’addition, 12 points dans les 5 dernières minutes du match. Pourtant, Indiana menait bien avant que Lebron dégaine à 3 points justement à 5 minutes de la fin, et de là, les Lakers vont lâcher un 10-0 rédhibitoire dont ne se remettront jamais les Pacers. A noter aussi en cette fin de match, la grosse performance de Josh Hart, même s’il a été remplacé injustement à un moment donné du match. En manque de leader dans le money-time, elle a juste payer l’absence de son joueur star. Il n’empêche que leur road-trip est pour l’instant réussi avec 3 victoires en 4 rencontres. Sans Dipo, c’est un beau challenge et cela permettra de responsabiliser certains joueurs. Enfin tous sauf Myles Turner, qui continue parfois d’être un plot pour son équipe.

Malgré la victoire, Los Angeles a montré une certaine faiblesse sur demi-terrain. Et que dire des perfs de Ball et Ingram au shoot… Alors oui, le basket ne concerne pas que les points mais à un moment donné, il va falloir mettre dedans. Indiana sans Victor ça passe mais on a bien vu ce qui s’est passé à Denver.

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