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Rudy Gobert a activé le mode superstar derrière un collectif injouable : le Jazz envoie un message fort à la ligue

Faut se le dire, Utah joue le titre, il n’en peut être autrement avec un tel niveau de jeu. Rudy Gobert a été énorme, le collectif aussi. Ce n’était pas n’importe qui en face, bien que Jrue Holiday fut absent. Le Jazz joue le meilleur basket de sa saison et peut être même plus encore. La pression devient de plus en plus énorme pour justifier un nouveau statut.

On pensait le match équilibré, que nenni. S’il manque un poids lourd à Milwaukee, Mike Conley Jr n’est pas sur le terrain dans les rangs de Utah. Bien loin de la saison passée, il s’est enfin installé au sein de la franchise en devenant productif : 16.5 points à 45% contre 14.4 points à 40.9% l’an passé. Milwaukee a pensé pouvoir jouer un jeu d’attaque face aux locaux mais en réalité, le collectif du Jazz est tout simplement trop fort. Outre marquer des points, ça joue au basket, c’est aussi simple que ça. Chacun choisit son moment, le ballon circule, le gars chaud prend les shoots, tout le monde est concerné. Des paroles qui peuvent paraître simples mais dans le chromosome NBA, il est bien difficile d’être sur la même longueur d’ondes et appliquer cette philosophie. Le meilleur marqueur ? En réalité ils sont deux. Joe Ingles qui claque 27 points et dépasse son record en carrière. Non seulement il balance à 3 points comme à son habitude mais n’en oublie pas de créer, le pick and roll a ainsi plus aucun secret pour lui. L’autre homme fort de ce match se nomme Rudy Gobert avec 27 points, 12 rebonds et 4 contres. Il s’offre le luxe de poster le pauvre Giannis Antetokounmpo à la mi-temps…

Utah a ainsi gagné 17 des 18 derniers matchs et bien que le score de 129 à 115 ne résume pas assez la performance incroyable de l’équipe, le message envoyé à la ligue est fort. Le Jazz mènera jusqu’à 21 points d’écart dans le 3ème QT. Coach Bud n’arrive pas à défendre la machine offensive. Quand ce n’est pas Jordan Clarkson ou Donovan Mitchell à l’extérieur, c’est Rudy Gobert qui détruit tout sans parler de la circulation de balle. Ce dernier est en plus un enfer à gérer en défense. Il contrôle absolument tout et « dévie » l’attaque naturelle de la franchise du Wisconsin. Quasiment invisible pendant une grande partie du match, Giannis Antetokounmpo terminera à 29 points, en scorant 27 dans la seule seconde mi-temps. Toutefois, c’est un peu faire des stats pour rien, le match était déjà plié. Comment lutter face à une équipe qui shoote à 52.4% et 36.8% à 3 points, tout en dominant aux rebonds (46 contre 33) ? Les équipes devront trouver une recette.

Moins bon que l’an passé statistiquement et c’est normal, grâce à un collectif grandissant, Rudy Gobert doit être heureux de lâcher ce genre de perf, en plus d’un puissant poster. Si Utah garde la première place de la ligue, il peut envisager de participer au All-Star Game. Une place l’attend !

Rudy Gobert se fait Giannis Antetokounmpo sur un violent poster : on sent toute la rage du français exploser !!

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