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Indiana et Pascal Siakam refusent de mourir et explosent OKC en plein vol

NBA – Indiana n’avait plus le choix. C’était gagner ou rentrer à la maison. Alors les Pacers ont décidé de tout envoyer. Cœur, sueur, orgueil, défense étouffante et une intensité qu’OKC n’a jamais su égaler. Le Thunder, à une victoire du titre, pensait conclure. À la place, il s’est fait foudroyer. Une boucherie signée Indiana. On est peut-être en face des meilleures Finales depuis très longtemps.

Le début de match laissait pourtant croire à un Thunder en contrôle. 10-2 pour démarrer, un Jalen Williams très propre et un Rick Carlisle déjà rouge tomate. Et puis Oklahoma a coulé. Shai Gilgeous-Alexander (21 pts) et Jalen Williams (16 pts) ont surnagé mais sans jamais avoir l’impact d’un vrai duo de leaders. Trop de déchets, trop d’erreurs 51à pertes de balles à eux deux). Et derrière ? Le néant. Le banc du Thunder n’a jamais répondu, laissant Indiana dérouler son basket avec la rage au ventre. Obi Toppin (20pts, 6 rebonds) a jailli du banc comme un missile à tête chercheuse pour exploser la défense du Thunder. Pendant que Pascal Siakam régnait sur le parquet, dominateur en attaque, impitoyable en défense.

Car oui, Pascal Siakam a été le patron. 16 points, 13 rebonds, un volume de jeu monstrueux et une attitude de vétéran en mission. Le champion 2019 a montré ce qu’est un joueur de Finales. Il a contrôlé la peinture, donné le tempo, et boosté un collectif en fusion. T.J McConnell en chien de garde, Tyrese Haliburton malgré la douleur, et un banc de Pacers infernal. Quand T.J. McConnell égalise à lui seul la production du banc adverse avant le blow out avec 12 points tu sais que t’as perdu la guerre des rotations. Indiana a mangé OKC. Littéralement.

Et puis est venu ce quatrième quart-temps. Le Thunder, déjà à -30, a baissé les bras. Game over. Le banc s’est vidé, les titulaires sont restés assis, le regard vide. Et là encore, Indiana n’a rien lâché. Pas de gestion. Pas de pitié. Tout le monde a eu sa part du gâteau. Même Ousmane Dieng au Thunder a pu poser son trois points pour la forme, ce qui reste trois unités de plus qu’un Alex Caruso (0pt, 3 rebonds, 2 passes) totalement à côté de la plaque. Pendant que James Johnson se faisait expulser pour faire diversion, Indiana validait sa masterclass.

Malgré le naufrage, ce match ne retire rien à la série monstrueuse que nous livrent ces deux équipes. Indiana a simplement envoyé un message : on ne meurt pas comme ça. Leur réaction a été brutale, totale, presque cruelle. Et maintenant ? Tout le monde est à égalité. Plus de calculs, plus de marge, plus d’excuses. Rick Carlisle a rallumé la flamme, et elle brûle fort. De l’autre côté, Mark Daigneault et ses hommes doivent vite retrouver leurs repères. Parce que dans un Game 7, on ne joue plus au basket. On se bat. On survit. Et on le gagne.

Indiana n’est pas mort, et ce n’est pas OKC qui dira le contraire. Ce Game 6 est un avertissement grandeur nature. Les Pacers ne lâcheront rien. Dimanche, Game 7, tout se joue sur 48 minutes. Le titre, la légende, la sueur et la gloire. On espère que t’as prévu la nuit blanche. Parce que là, ça va cogner fort. Et pourquoi pas les prolongations pour cette dernière Game. Pour encore plus de tensions et que ces Finales ne finissent pas. 

Quand Ousmane Dieng s’énerve sur les terrains NBA…







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