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Parlons peu mais parlons bref : Avec deux victoires en 12 matchs, les Hornets sont zéros

USA TODAY
Nous étions de ceux qui pensaient que les Hornets allaient être une des grosses équipes de l’est, avec l’arrivée de Dwight Howard. Grosse erreur pour l’instant et il faudra avoir un sacré mental pour inverser la tendance et tout le monde sait qu’en NBA, tout peut aller vite !

Désolé fan des Hornets, c’est le moment du sourire narquois La stat du jour pour les frelons est terrible : deux victoires en 12 matchs. S’il faut être encore plus dramatique : une victoire en 7 matchs. Vous l’aurez compris, nous ne tournons pas autour du pot avec un niveau proche de zéro et peut être en-dessous. La victoire contre le Thunder aurait bien dû lancer des choses, visiblement ce n’était rien et pourtant, il y avait eu la manière.
Le match d’hier a révélé bien des maux face aux Blazers d’un CJ McCollum très on fire (25 points à 10/18). De gros problèmes offensifs avec 91 points inscrits… Nicolas Batum aura beau pris feu avec 23 points. Le pourcentage de son équipeest cataclysmique avec 34.4% au shoot un dramatique 22.6% à 3 points…  

Le point d’orgue de ce match ? Le terrible match de Kemba Walker : 14 points à 7/26 et 0/9 à 3 points. Vrai problème de confiance pour toute son équipe et lui même. Il faudra bien régler ça un jour car son équipe est stéréotypée. L’attaque est centrée sur lui et « Superman » et ça ne marche pas. Le collectif n’est plus et même si Lamb, Batum ou Williams arrivent à tirer leur épingle du jeu, les deux joueurs « stars » n’arrivent pas à performer, tout en pesant sur l’équipe. Ce n’est pas un hasard si ces derniers temps, Howard a sorti de grands chiffres, sans pour autant aider ses coéquipiers à devenir meilleurs. Non pas qu’il faut leur jeter la pierre mais un match se gagne en équipe et pour l’instant, le coaching staff ne fait pas son travail, quand il s’agit de mettre tout le monde sur la même longueur d’ondes. L’alchimie est aussi forte que celle du Thunder et il ne sert à rien d’avoir de grands noms, si ce n’est pas pour faire de grandes choses…

Pour les aider un petit peu, CJ McCollum aura même raté un lancer mais ils n’arriveront pas à marquer avant le buzzer final alors qu’il n’y avait que deux points d’écart. Pas suffisant visiblement et les Blazers remportent un match difficile mais qui ne pouvaient pas leur échapper.

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