La décla du jour de Rudy Gobert le « grand frère » : « Victor Wembanyama est ambitieux. C’est des qualités que j’ai reconnues chez lui. On est assez proches. Il fait le travail nécessaire pour progresser. »

A l’image de Tony Parker en son temps, c’est au tour des Rudy Gobert et Evan Fournier de jouer les grands frères. L’intérieur français s’est exprimé sur le peut être futur pick numéro 1 de la prochaine draft. Il n’a que des belles choses à dire et on sent même une aura de « grand frère ».

Il est sans doute prêt mais Victor Wembanyama va être le centre d’attention du basket français cette année. Pas seulement par les médias français mais aussi par les médias du monde entier et notamment les américains. Adieu l’ASVEL dorénavant, bonjour la région parisienne pour une saison qui s’annonce spéciale pour le jeune crack. L’important pour lui est de prendre de l’expérience mais selon Rudy Gobert, il n’y a pas à s’en faire. Il a été récemment interviewé par le créateur de contenu « Sammy S’explique ». On en apprend un peu plus sur la relation entre les deux hommes. Pour rappel, les deux joueurs s’étaient entraînés ensemble par le passé (Victor Wembanyama n’avait que 16 ans) et dans un laps de temps, ils seront probablement adversaires, à moins de voir les Wolves derniers de la ligue :

« Victor a beaucoup confiance en lui, je l’encourage, je lui donne des conseils, quand il m’en demande. Je suis 100% convaincu que ça va être un joueur incroyable. Pas seulement parce qu’il a le physique et le talent, surtout parce déjà qu’il est très bien éduqué. Il a la tête sur les épaules. Il est aussi intelligent. Il est ambitieux. C’est des qualités que j’ai reconnues chez lui. On est assez proches. Il fait le travail nécessaire pour progresser. J’ai hâte de voir son évolution. »

Présélectionné pour l’équipe de France, leur relation ne fera que grandir, même s’il ne fait pas partie du groupe final. Ce n’est que le début de sa carrière pro et tous les feux semblent au vert, pour devenir une légende du basket français, s’il continue avec cette mentalité.

Merci à Michelle Lambert : la femme qui a sauvé Jimmy Butler