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Joueurs du mois : James Harden n’a pas fait que du step back, il a aussi step-up

Source photo : Slam

Comme pour tous les débuts de mois, la NBA décerne ses trophées mensuels des joueurs du mois et en janvier, ce sont deux All-Stars qui ont dominé. A l’est c’est Joel Embiid qui a dominé, tandis qu’à l’Ouest, c’est l’inévitable James Harden qui prend le dessus, avec un mois historique et une streak toujours en cours.

On débute par la conférence Est, comme à chaque fois, et c’est donc Joel Embiid qui a été élu joueur du mois. Le bilan est excellent avec onze victoires pour quatre petites défaites. Et lors de deux défaites, le camerounais était tout simplement absent. Le pivot répond aussi présent chez les statistiques : 29.2 points, 13.8 rebonds et 3.8 passes contres par match.

A noter que c’est la première fois qu’un joueur de Philly est élu joueur du mois depuis…Allen Iverson. Pourtant, Joel Embiid n’a pas vraiment forcé, même s’il a inscrit 42 points en début de mois., sa meilleure perf’ dans le mois. Il a aussi enchaîné trois matchs de suite à plus de 30 points, mais le plus impressionnant reste ses onze double-doubles…en treize rencontres.

En revanche, à l’Ouest, nous connaissons déjà le vainqueur des joueurs du mois de janvier. C’est bien évidemment James Harden, et malgré un bilan mitigé de huit victoires et six défaites, le MVP en titre a rendu fou les défenses avec 43.6 points, 8.7 rebonds et 7.6 passes par match. C’est un mois historique de sa part.

L’arrière a été stratosphérique, et c’est simple, lors de tous ses matchs, le barbu a inscrit plus de 30 points. Parmi ses performances marquantes, il y a le triple double à 44 points…à Golden State…avec le tir de la gagne. Ensuite, il y a trois matchs consécutifs respectivement à 58, 57 et 48 points, et James Harden a terminé en beauté avec 61 points au Garden, rien que ça.

Voilà donc pour les joueurs du mois : Joel Embiid a encore dominé physiquement face à ses adversaires. Quasiment que des double-doubles. Et que dire de James Harden, qui inscrit plus de 30 points à chaque match avec des performances exceptionnelles. Même si c’est moche, c’est historique, et dans dix ans, on retiendra que ça.

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