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Houston verrouille Steven Adams avec 39 millions sur 3 ans

NBA – Dans une intersaison qui promet déjà son lot de secousses, les Rockets ont choisi la stabilité. Avant même l’ouverture de la free agency, Steven Adams a resigné pour trois saisons. Un deal costaud à 39 millions, avec l’accent kiwi et les bras qui vont avec.

Dans une NBA obsédée par les pivots qui shootent à 8 mètres et défendent sur des arrières, Steven Adams fait toujours du Steven Adams. Il ne stretch rien, ne switch pas tout mais il impose. Sous les couleurs de Houston, il est revenu comme on ne l’attendait plus. Discret mais indispensable. Moins de 15 minutes par match, oui mais chaque minute sent le béton armé. Des écrans qui sonnent. Des rebonds offensifs arrachés à l’ancienne et une présence qui fait transpirer n’importe quel intérieur adverse. Et au Toyota Center, on ne s’y est pas trompé. Le public a adopté Aquaman comme un totem.

Rafael Stone n’a pas attendu le 30 juin pour trancher. Il le voulait. Et Steven Adams, lui, voulait rester. Pas de suspens, pas de flirts avec d’autres franchises. Une prolongation cash, trois ans, 39 millions, affaire réglée. Ce move, c’est bien plus qu’un simple bail pour un vétéran. C’est un message. Les Rockets misent sur la continuité, sur la solidité, sur une culture. Avec le Néozélandais, Alperen Sengun peut se concentrer sur la création. Avec Steven Adams, Ime Udoka garde dans son vestiaire un gars qui parle peu mais que tout le monde écoute. Et pendant que les rumeurs Kevin Durant chauffent les réseaux, Houston bétonne l’essentiel : la base. Et elle s’appelle Steven Adams.

Alors oui, ce n’est pas la signature qui fait trembler Twitter. Mais c’est un move malin. Steven Adams, c’est un joueur de rôle avec une valeur de starter dans certaines soirées, un mec qui ne bronche jamais, et qui renvoie du bois soir après soir. À 32 balais, il a peut-être ralenti, mais il reste une constante dans un effectif jeune et explosif. Trois saisons à Houston, c’est aussi trois saisons à sécuriser la raquette, la peinture, et les codes du vestiaire.

Steven Adams ne mettra peut-être pas 30 points un soir de mai. Mais il est là pour faire en sorte que d’autres puissent le faire. Et dans une équipe qui rêve plus grand, c’est bien souvent ce genre de soldat qui finit par compter le plus.

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