Doc Rivers ravit de compter sur Dwight Howard : « c’est plutôt cool d’avoir un joueur titré dans l’équipe »

source image : phillyvoice.com

Dwight Howard avait annoncé re-signer avec les Lakers avant de supprimer son tweet pour s’engager avec les Sixers cinq minutes plus tard. Il rejoint donc Doc Rivers, qui se réjouit à l’idée de travailler avec un champion NBA mais surtout avec un vétéran motivé à aider le groupe à se développer.

Comment résumer la carrière de Dwight Howard en un seul mot ? Surprenante ? Extravagante ? Déconcertante, voire loufoque ? Autant d’adjectifs qui colle parfaitement à la personnalité du bonhomme. L’ancienne superstar du Magic ne fait pas les choses comme les autres, et son parcours dans la grande ligue s’en ressent. Dernière histoire en date, son retournement de veste improbable pendant les premières heures de la free-agency.

Il fait part de son souhait de prolonger l’aventure aux Lakers pour s’engager avec Philadelphie quelques minutes après cette déclaration. Mais c’est Dwight Howard ! Et puis merde, après tout, il est enfin champion NBA ! Après une chute progressive de statut, l’ami Dwight a soulevé son premier trophée et, ironie de l’histoire, avec les Lakers. Désormais back-up de Joël Embiid à Philly, Doc Rivers est ravi de compter sur un joueur renouvelé, passé par bien de péripéties au cour de sa carrière :

« C’est plutôt cool de pouvoir compter sur un champion NBA » assure le nouveau coach des Sixers pour USA Today. « J’ai été impressionné par Dwight, c’est rare qu’un gars puisse passer du statut de superstar et dans la catégorie des MVP tous les ans à role-player et vouloir aider tout le monde. Et c’est vraiment ce qu’il fait. »

Concentré dans un registre défensif avec les Lakers la saison dernière, Dwight Howard a parfaitement réaliser ce job, retrouvant ses sensation d’intimidateur d’élite. Avec les Sixers, le nouveau champion NBA a déclaré qu’il était là pour prendre Joël Embiid sous son aile et le pousser au quotidien. Selon ses dires, il ne le lâchera pas. Et puis, avec l’ambition de viser le titre, les Sixers sont armés dans la peinture.