Zach Lavine est un gars ambitieux, il ne s’est jamais caché de ça d’ailleurs et son nouvel objectif est d’être l’option numéro 1 des Bulls. Peut-être qu’il oublie un certain Lauri Markkanen ou bien Jabari Parker.
Zach Lavine a vécu une saison frustrante car il a été blessé durant une grande partie de la saison. Remis sur ses pattes, l’arrière affiche des ambitions plutôt élevées car ce qui l’intéresse, c »est d’être l’option numéro une, d’être le go to guy des Bulls. Il connait la différence entre un joueur banal et d’un grand joueur, c’est la capacité à être un franchise player.
Vouloir être l’option n°1, c’est une question de compétition, tout le monde en a envie. Je pense que c’est bien pour l’équipe parce que ça va faire ressortir le meilleur de chacun. C’est pour ça que tu travailles, pas pour jouer les secondes rôles. Et il n’y a rien de mal à ça, beaucoup de Hall of Famers ont joué les secondes rôles, ont été la deuxième, la troisième option de leur équipe. Mais quand vous travaillez comme ça, c’est ce que vous voulez.
En tout cas, le moins que l’on puisse dire, c’est que la franchise mise énormément sur lui. Pour preuve, Chicago s’est aligné sur une grosse offre : 80 millions de dollars sur quatre, ce qui est tout de même synonyme de grosse confiance de la part des Bulls envers Zach Lavine, surtout car il y a eu des récents pépins physiques.
Effectivement, à cause d’une rupture des ligaments croisés, le dunkeur ne verra peut-être jamais son prime. Et puis, dans le même temps, il y a d’autres joueurs qui postulent à ce titre de franchise player : Lauri Markkanen, Jabari Parker, voire Kris Dunn. D’autre part, il est confiant sur l’avenir de l’équipe.
Je suis excité parce qu’on a énormément de polyvalence offensive. On pourra écarter le jeu et si l’un de nous est dans un jour sans, un autre pourra prendre le relais.
Comme dans toutes les équipes, il y aura une hiérarchie à respecter sauf que pour le moment, celle-ci n’est toujours pas instaurée. On le saura sans doute très bientôt. L’équipe est jeune, le talent est là. Désormais, il faut que la mayonnaise prenne et ce ne sera pas une tâche simple pour Fred Hoiberg, le coach des Bulls.