A deux semaines de la trade deadline, les rumeurs s’intensifient, sont plus ou moins crédibles et The Daily Dunk est là pour vous faire un petit récapitulatif de toutes les actualités chaudes du moment, division par division, équipe par équipe.
Denver Nuggets
Candidat sérieux au titre, Denver traverse toutefois une régulière assez étrange. Et si Michael Porter Jr a toujours été noté comme intransférable, ça n’empêchera peut-être pas des éventuelles venues. La piste JJ Redick s’est certes refroidie, mais elle a fait par contre de la place à celle de Terrence Ross, un autre pétard ambulant pour le banc, peu scoreur (34 points/match), des Nuggets.
Oklahoma City Thunder
Le Thunder possède des picks jusqu’à l’infini, mais c’est peut-être pas fini ! La franchise aura peut-être l’occasion d’obtenir d’autres choix et/ou des jeunes joueurs, grâce à la trade deadline, avec deux candidats principaux : Trevor Ariza et George Hill, avec les Lakers qui se positionnent pour l’ailier. Il n’est pas non plus impossible que ça se termine en buy-out.
Portland Trail Blazers
Dans l’histoire récente, les Blazers se sont toujours montrés discrets, à la trade deadline, et la tradition ne devrait pas changer. Pour le moment, aucune rumeur n’a pointé le bout de son nez dans l’Oregon, et c’est presque dommage de voir une équipe prendre aussi peu de risques compte-tenu du talent dans l’effectif.
Minnesota Timberwolves
Les Wolves sont la pire équipe sur le plan comptable, mais ce sera aussi l’une des équipes les plus actives à la trade deadline…avec des chemins qui mènent tous au poste 4. En effet, Minnesota piste trois joueurs et ce sont trois ailiers-forts : John Collins, Aaron Gordon et Larry Nance Jr (ancien coéquipier de D’Angelo Russell). Dans le même temps, attention à ne pas se faire voler Karl-Anthony Towns par les Knicks ou le Heat, même si la chance est sacrément faible.
Utah Jazz
On termine ce petit tour de la division avec Utah, et le front office ne se préoccupe visiblement pas de la deadline, et il y a des raisons, comme notamment la saison du Jazz. C’est une copie parfaite, les rôles sont parfaitement compris et jusqu’à preuve du contraire, il n’y a pas besoin de modifier quelque chose.