Comme quoi, on avait vraiment visé juste. Hier après-midi, un dossier a été évoqué pour parler de Serge Ibaka qui est actuellement en 2020, pas loin de son meilleur niveau en carrière. Un joueur tournant à plus de 17 points par match lors du mois de janvier et le pivot de 30 ans montre en avoir encore dans le réservoir. Jouant carrément comme un All-Star des deux côtés du terrain, il assure peu importe sa tâche en sortant du banc ou en étant dans le cinq de départ. Quoi qu’il en soit, il a un rôle hyper important pour aligner les victoires et celle-là est spéciale, dans une ambiance de post-season. Toronto a gagné son 12ème match de suite, qui leur permet de réaliser la plus grande série de victoires de l’histoire de leur franchise. Bien entendu, c’est monsieur Serge Ibaka, comme un symbole, qui délivre les siens dans une fin de match sous haute tension.
Il a été incroyable cette nuit, tout simplement. Non seulement il met le shoot de la victoire, mais en plus il balance un match digne des plus grands : 30 points à 13/21 au shoot, 7 rebonds et 3 passes décisives. Dans l’action du match, Toronto est mené de deux petits points. Un plan de jeu où Pascal Siakam est censé faire la différence. Il pénètre mais Oladipo et Sabonis sont en retard sur leur rotation. Kyle Lowry récupère le ballon, il voit Serge Ibaka complètement esseulé et le numéro 9 des Raptors n’a plus qu’à swisher pour la victoire. KNOCK. YOU. DOWN. PACERS. Match d’autant plus intéressant avec Victor Oladipo qui était revenu dans le cinq de départ (5/14 au shoot). A noter qu’outre Serge Ibaka, Kyle Lowry aussi atteint la barre des 30 unités et ces deux équipes pourraient très bien se jouer au premier tour des playoffs. En espérant que les Pacers ne gâcheront pas 8 points d’avance à 2 minutes de la fin cette fois.
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