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Rick Carlisle complimente déjà Shai-Gilgeous Alexander

NBA – Les Finales NBA arrivent à grand pas et Rick Carlisle ne perd pas de temps pour annoncer son coup de cœur. Shai Gilgeous-Alexander n’a pas encore soulevé le trophée, mais déjà il récolte le respect du boss adverse. Pendant que certains transpirent rien qu’à l’idée de l’arrêter, Shai, lui, continue de faire danser le parquet comme si c’était un jeu d’enfant. Les Finales NBA vont  envoyer du lourd. 

Quand un coach vétéran comme Rick Carlisle se met à parler de Shai Gilgeous-Alexander comme d’une légende vivante, on écoute. Surtout quand c’est la veille des Finales NBA, et qu’il est censé le faire tomber. Mais non, Carlisle a préféré sortir les violons plutôt que les plans anti-Shai. Et franchement, c’est aussi inattendu que appréciable.

Shai Gilgeous-Alexander entre en Finales avec une mission très claire : terminer le boulot. Après une saison d’un niveau all-time, déjà récompensée par un trophée de MVP, le Canadien vise maintenant la bague et un possible titre de Finals MVP. Le genre de triplé réservé aux élus.

Et cette année, peu croient à une surprise. Le Thunder, en rouleau compresseur, affronte des Pacers survoltés mais encore verts. L’Oklahoma City Thunder n’est pas juste favori : il est vu comme une machine bien huilée, presque intouchable. La plupart des experts s’accordent à dire que si Indiana pousse jusqu’à un Game 6, ce sera déjà un exploit.

Mais là où certains coachs cherchent à instiller le doute ou à créer une tension narrative, Rick Carlisle, lui, balance de l’admiration. Pas de mind game, pas de poker face. Juste du respect XXL pour un joueur qu’il qualifie presque d’irréel.


« Ce garçon est né pour être un grand, ça se voit. Il a une attitude parfaite, il est calme, il est imperturbable. Il sait qui il est et il croit vraiment en lui. Je l’ai regardé évoluer de loin, et c’est vraiment hallucinant. On dirait qu’il transpire à peine en jouant. »

Et il ajoute, admiratif :

« Il faut déjà se rendre compte d’à quel point c’est difficile de scorer 30 points dans une ligue comme la NBA, mais alors le faire à chaque match pendant 2 ans, c’est dingue. »

Oui, « dingue » venant d’un coach champion NBA, ça pèse.

Au-delà des fleurs jetées par Rick Carlisle, ce qui se joue pour Shai Gilgeous-Alexander, c’est une place dans l’histoire. En cas de titre, il entre dans un club très restreint : celui des superstars capables de tout dominer dans une même saison. De quoi s’asseoir à la table de Kobe Bryant ou LeBron James. Sans même hausser la voix.

Et puis, que Rick Carlisle, coach réputé pour son exigence, sa science du jeu et son franc-parler, balance une telle déclaration d’amour basket juste avant les Finales, ça en dit long. Le gars est prêt à se faire manger, mais il ne mentira pas sur le talent en face. Du fair-play à l’ancienne version puriste.

La série n’est pas encore lancée que Shai Gilgeous-Alexander a déjà marqué un point : celui du respect éternel. Carlisle, en bon sensei, a reconnu le génie du jeune maître. Alors oui, les Pacers vont tout donner, mais s’ils tombent face au Thunder, ce ne sera pas sans avoir salué le roi. Et pendant que Shai transpire à peine en posant ses 30 pions, certains coachs transpirent juste à l’idée de le défendre. La Game 1 approche à grands pas, et on va voir si Shai assume enfin son rôle de patron, surtout devant son public. 

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