Des doutes subsistent concernant Derrick Rose. Pour une fois, il ne s’agit pas de son état de santé (quoique seulement 55 matchs joués l’an passé…) mais plutôt de son shoot. Sa précédente saison contre les Wolves était-elle un one shoot à ce niveau ? Pourra t-il être performant en périphérie, maintenant que les défenses vont s’adapter ? Avec Minnesota, il a tourné à 48.2% au shoot et 37% à 3 points lors de l’exercice 2018-2019 (17% la saison qui précédait avec les Wolves). Durant la rencontre de pré-saison face à Dallas, il a prouvé que son talent était encore présent en marquant 18 points. Il est monté tranquillement en puissance et c’est surtout dans le money-time qu’il a fait mal. Son jeu mid-range est toujours aussi « clinic », il a été efficace et quand il fallait accélérer le jeu en transition, personne ne peut rester face à lui. Des paniers faciles en contre-attaque, un domaine où les Pistons n’excellaient pas l’an passé. Sur pick and roll aussi, il a pu faire la différence en profitant des matchups avec les intérieurs, en travaillant aisément ses one on one. En Bref, le D-Rose qu’on aime et tous ses fans espèrent une nouvelle grande saison, avec pourquoi pas des playoffs.
Derrick Rose is still one of the most athletic PG’s in the game + he’s more controlled and crafty than ever.
I don’t like it when people say “what could have been” the reality is he bounced back through work…the ability was always there. Just needed the same opportunity. pic.twitter.com/uHcvYhczpe
— Ball Don't Stop (@balldontstop) October 10, 2019