NBA – Bien qu’on apprécie tous la NBA pour ses athlètes, son jeu, son spectacle, il ne faut pas oublier qu’elle reste avant tout un business. Beaucoup de joueurs dans l’histoire peuvent en attester et ça a été le cas pour John Wall qui a appris son futur trade par… Russell Westbrook et aux dernières nouvelles le Brodie n’est pas devenu agent ni GM.
Derrière ses matchs intenses, spectaculaires, remplis d’athlètes de classe mondial et d’artifice pour rendre le show encore plus chaud, la NBA est un business, ce n’est pas nouveau. Et dans ce milieu, il y a une règle claire : business is business. C’est ce que John Wall a expérimenté lors de son trade vers Houston en échange de Russell Westbrook. L’ancienne star de la capitale a appris la nouvelle d’une façon bien étrange. Il révèle sur Tidal League que c’est le Brodie lui-même qui le met au courant pour la première fois de ce trade via SMS.
« Russ m’a envoyé un message de nul part en me disant « DC essaye de m’avoir mais ils m’ont dit que tu ne veux pas partir. » Bien sûr que non, c’est ma franchise là où je me sens bien. »
"Russ DMs me out of nowhere… He texted me 'D.C. trying to get me but they saying you ain't wanna leave.'"
John Wall on finding out about the Wizards trying to trade him from Russell Westbrook
(via @TidalLeague)pic.twitter.com/K9JALhCw1p
— ClutchPoints (@ClutchPointsApp) January 17, 2023
Finalement la suite on la connait, John Wall est bien parti aux Rockets même si son passage là-bas est plus qu’anecdotique. Le summum du sportif payé des dizaines de millions à ne rien faire. Russell Westbrook a bien joué une saison chez les Wizards avec Bradley Beal. On se souvient de sa deuxième partie d’année folle en triple-double de moyenne et permettant aux siens d’arracher la huitième place, synonyme de Playoffs. Mais on se souvient aussi de la fessée royale prise par les Sixers d’un Joel Embiid remonté à bloc. John Wall n’est évidemment pas un cas isolé. Récemment, on se souvient de l’affaire Andre Drummond. Le pivot a dédié une grande partie de sa carrière aux Pistons qu’ils voulaient aller loin, avant d’être trade contre deux seconds tours de draft aux Cavaliers comme un malpropre.