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Les Lakers ont lâché la bête Julius Randle : « Je ne suis pas surpris mais ça fait plaisir »

Source photo : NBA.com

Alors qu’il est free agent avec restriction cet été, Julius Randle ne surprend plus son monde, rassure son banquier, et inquiète ses dirigeants. Encore une fois, il fut énorme hier soir.

La nuit dernière, c’était l’occasion de belles retrouvailles (ou pas), entre les Lakers et les Cavaliers. D’une part, Jordan Clarkson et Larry Nance Jr revenaient au Staples Center, et d’autre part, Isaiah Thomas rencontrait son ancienne équipe où il a disputé seulement 15 matchs, et ce n’est pas lui a volé le spotlight.

Après la victoire des californiens, les caméras étaient braquées sur Julius Randle, qui a sorti un match fantastique : 36 points (dont 23 en seconde mi-temps) à 14/18 au tir accompagné de 14 rebonds, 7 passes et 2 contres. Plus explosif que jamais sur ses premiers pas, ou a la finition, l’ailier fort n’est pas surpris par son record en carrière.

Je savais que j’étais capable de faire ça. Cela prend simplement du temps d’apprendre, de continuer à grandir et à se développer en tant que joueur. Et en tant que personne. Je savais que je pouvais faire ça. Je ne suis pas surpris mais ça fait plaisir. Je devais défendre sur le meilleur joueur NBA, c’était mon défi. Vous savez que j’aime ce challenge et que je prends ça personnellement. C’est un joueur incroyable, vous ne pouvez pas faire grand chose à part essayer de lui compliquer les choses. 

Depuis qu’il est starter, à savoir depuis fin décembre, Julius Randle pose ses double-doubles tous les soirs. S’il n’est pas agressif, les Lakers n’auront pas la même tête. En défense, c’est également lui qui impose l’intensité. Une valeur qui ne cesse de monter, et par conséquent, les journalistes ont posé la question qui fâche : la free agency.

Il reste quoi 16, 17 matchs ? Je me concentre juste là-dessus. Quand on sera en juillet, on verra ça.

Depuis janvier, le bilan des Lakers n’est pas mauvais et c’est en grande partie grâce à la bête. Si les playoffs sont trop loin, Julius Randle met ses dirigeants dans la mouise, puisqu’il au fil des matchs, sa valeur ne cesse de monter, et le front office sera obligé de mettre le pactole pour conserver le joueur.

LeBron James à Los Angeles, cela attire les caméras. Mais, Julius Randle ne s’est pas laissé faire, et a été le grand bonhomme de cette victoire, et possède désormais un nouveau record en carrière.

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