Merci la conférence est. L’histoire a beau être revisitée à base de livres, documentaires et surtout matchs NBA, certains détails échappent. Le plus croustillant durant la saison de Michael Jordan en tant que sophomore ? Le bilan de son équipe : 30 victoires pour 52 défaites durant la saison. C’est durant l’exercice 1985-1986. Cette même année, lorsque Michael Jordan se blesse assez salement, jusqu’à rater 60 matchs. Durant une bonne partie des rencontres où il peut jouer, il sera en load management, d’où sa baisse de stats (seulement 22.7 contre plus de 28 en tant que rookie).
I don’t think we will ever see another 30-win team in the playoffs pic.twitter.com/cjfRDzFLfG
— Hoop Central (@TheHoopCentral) April 20, 2020
C’est aussi en 1986 que Michael Jordan va choquer le monde entier. Tout le monde sait que Boston finira par battre les Bulls au 1er tour et filer tout en haut de la ligue. Mais à ce moment précis, Jordan prend un tout autre statut grâce notamment un match, le game 2 à Boston. Il tape 63 points, son record en carrière en playoffs et aussi le record all-time. Aucun joueur n’a réussi à mettre autant de points en un match avant ou depuis. Après la rencontre Larry Bird déclarera une phrase désormais classique depuis ce jour : « Ce n’était pas Michael Jordan. C’était dieu déguisé en Michael Jordan. » N’oublions pas de citer ses 49 points au 1er match et une série hors du commun à 43.7 points par match. Pour un 2ème année, ayant failli perdre sa jambe au cours de l’année, ça annonçait le monstre qui allait arriver. Pour la petite anecdote, nous sommes le 20 avril, soit la même date que ses mythiques 63 points survenue en 1986. Bien entendu, les Celtics passeront aisément mais l’histoire était déjà en marche.