La déclaration de la nuit : Lebron James explique la mentalité de progresser, même avec une pré-saison raccourcie !

C’est la marque des grands. Progresser chaque été, qu’importe les titres et les MVP. Lebron James fait moins de stats que l’an passé, ce n’est pas pour autant qu’il est moins fort mais comme on le sait tous, l’année 2020 a été différente pour tous et s’entraîner comme à l’accoutumé fut impossible. Bien au contraire, il a progressé dans son jeu pour le plus grand bonheur de son équipe et malheur de ses adversaires. Il joue bien contre les grosses écuries et notamment les candidats MVP. Cette nuit, il claque 27 points et a été l’instigateur de l’excellence seconde mi-temps des siens. Lebron James a expliqué ses progrès à Jovan Buha de The Athletic. Son témoignage est assez édifiant. Être motivé après tout ce temps dans la ligue, c’est tès fort :

«Je n’ai jamais mis un plafond sur ma capacité à continuer à m’améliorer. Et j’ai toujours eu un esprit d’évolution sur la façon dont je peux améliorer mon jeu. Et je n’aimais pas trop la courte off-season parce que je n’ai pas vraiment eu l’occasion de disséquer en quelque sorte une partie de mon jeu où je voulais m’améliorer, mais j’ai utilisé le temps à bon escient. Surtout pour mon corps, principalement pour mon esprit avec la courte off-season, mais aussi pour revenir en tant que meilleur joueur.

Et je sens que je suis un meilleur joueur que l’année dernière. Je sens que je peux battre la défense à tous les niveaux une fois que je traverse la demi-terrain. Donc je pense que cela rend notre équipe encore meilleure quand je peux m’améliorer et que j’ai l’impression d’avoir amélioré mon jeu. »

Cette question posée par The Athletic est sans doute en liaison avec la plaidoirie de Dwyane Wade. Ce dernier avait déclaré devant Gilbert Arenas que son meilleur pote n’avait jamais été aussi bon. Parmi les axes de progressions notables, son shoot of course. Véritable sniper dorénavant, il peut surprendre la défense de bien des manières. Son playmaking a aussi évolué, surtout dont la façon il peut utiliser un Dennis Schroder et sa défense reste à un gros niveau malgré ses 36 ans. On se demande où il pourra s’arrêter…

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