Boris Diaw est le Robin de Tony Parker. Et en parlant de Batman, la coïncidence fera que des chauve-souris se promèneront pendant le discours de Boris Diaw. Babac a eu des mots doux envers son meilleur pote et on n’aurait pas mieux dit que lui sur le coup : « C’est impossible de parler du basket français sans Tony. » Et comme il le dit si bien, il y aura un basket français avant Tony Parker et un basket français après Tony Parker. Un avant et un après qui se ressent encore, même si notre chère équipe nationale se porte bien. Il y aura toujours un fantôme Tony P qui planera au-dessus de Rudy Gobert et ses potes. Boris Diaw évoquera par la suite les souvenirs qui auront formé le duo Tony Parker – Boris Diaw. Les années lycée, les moments équipe nationale en junior mais aussi en senior, comme l’euro 2013. Des souvenirs qu’on gardera à jamais en mémoire… Et comme l’a si bien dit Babac , »Merci Tony ».
"There is no way you can talk about French basketball without Tony." – @theborisdiaw 🇫🇷#MerciTony pic.twitter.com/G6DMgPt3WC
— San Antonio Spurs (@spurs) November 12, 2019