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Quand Julius Randle envoie l’un des pires shoots non clutchs de la saison

Source photo : Twitter

Si New-York, The Big Apple, Gotham, appelez-la comme vous voulez, est la ville qui ne dort jamais, c’est peut-être pour éviter à ses habitants de ne pas faire de cauchemars, par exemple en repensant à la dernière possession du temps règlementaire de Julius Randle face aux Bulls. Non parce que là il y avait de quoi sortir de grands « Put that action in Le Louvre » tant le franchise-player (aie) des Knicks à fait fort. Dans le mauvaise sens du terme.

Entre Evan Fournier qui a disparu du cinq majeur alors qu’il était devenu le Knicks le plus prolifique sur une saison à 3-points, et Derrick Rose et Cam Reddish qui ne jouent plus une minute, la franchise de New-York est tout de même bien curieuse. Face à des Bulls loin d’être bons cette saison, les Knicks avaient un coup à jouer, et ils l’ont fait, emportant une précieuse victoire en prolongation au United Center. Mais cette prolongation aurait pu être évitée sir l’homme du match, Julius Randle, n’avait pas envoyé une des pires possessions de l’année alors que les deux équipes étaient à 117 partout à 20 secondes du terme. Attention, sortez le collyre et admirez ce qu’il ne faut PAS faire :

Avec Patrick Williams, défenseur reconnu, sur le dos, Julius Randle a tout simplement attendu TROIS PLOMBES en position de tripe-menace, sans tenter une seule fois de créer une différence alors qu’il avait pourtant l’avantage certain de la taille. Mais non, l’intérieur a préféré poireauter une quinzaine de secondes, sur place, laissant ses coéquipiers s’écarter et les téléspectateurs se demander si leur écran n’avait pas freezé avant de finalement partir sur l’aile droite et envoyer une horreur de airball. Une action ubuesque qui n’aura au final que peu de conséquences puisque les Knicks l’emporteront en overtime.

Malgré son match plein d’adresse sur la ligne des lancers (31 points à 13/15 aux LF, 13 rebonds et 7 passes), Julius Randle a tout de même trouvé le moyen de faire souffler ses fans et se demander comment une équipe peut prétendre à jouer les contenders avec lui comme franchise-player. Du côté de Chicago, le play-in NBA à l’Est s’éloigne de plus en plus, presque autant que les volontés défensives de Zach LaVine…

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