On le sait, Evan Fournier sera un joueur des New-York Knicks la saison prochaine, et ce pour les 4 prochaines saisons après avoir signé un deal avec Leon Rose pour 78 millions de dollars. Peu après cette signature, l’arrière aidait les bleus à remporter les quarts de finales face à l’Italie en scorant 21 points. S’il est excité par ce nouveau challenge, c’est surtout la pression de jouer pour une aussi grosse équipe qui motive particulièrement le meilleur scoreur de l’équipe de France à Tokyo.
En signant pour 4 ans et 78 millions de dollars du côté de Big Apple, Evan Fournier va réaliser un rêve qu’il avait depuis un moment maintenant en étant un joueur des Knicks. De plus, le Madison Square Garden est une salle mythique et l’arrière avait fortement envie d’y jouer, ça tombe plutôt bien. On sait d’ailleurs qu’il partagera la ligne arrière avec un certain Derrick Rose qui a prolongé du côté des Knicks pour 43 millions sur trois saisons.
« C’était ma priorité au début de l’été parce que je connaissais l’endroit. » A expliqué Evan Fournier au Boston Globe. « J’ai discuté avec Brad Stevens, et on n’est évidemment pas parvenu à un accord. J’étais plus enclin à signer avec Boston car ils avaient monté un transfert pour me faire venir. »
Force est de constater que Boston n’a pas été en mesure de proposer un salaire proche des 20 millions annuels pour Evan et ils doivent aussi se focaliser sur le fait de trouver un remplaçant à Kemba Walker, qui est maintenant du côté d’OKC. Mais alors pourquoi les Knicks, Evan Fournier est catégorique là-dessus.
« Ca faisait un moment que je voulais jouer là-bas et je suis extrêmement heureux d’y jouer l’année prochaine. Ensuite, Thibodeau y est pour beaucoup, c’est un coach que j’apprécie et pour qui j’ai envie de jouer. J’ai joué avec Steve Clifford en coach et je pense que le style de Thib et le mien iront parfaitement. J’adore tout simplement la pression, j’aime les projecteurs. New-York a réalisé une belle saison et ils avaient une place de libre, je pense que je peux vraiment les aider. Et puis New-York, ça déchire, c’est que du plaisir. »