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ESPN tease le documentaire sur Dennis Rodman : rendez-vous pris pour le 10 septembre

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L’annonce d’un documentaire sur une légende de la NBA, ça fait toujours son petit effet. Alors quand il s’agit de Dennis Rodman, autant dire que les attentes sont hautes. Pas d’inquiétudes à avoir, au vu du trailer, « For Better or Worse » s’annonce immanquable !

Bien entendu, le documentaire est produit par ESPN et la qualité devrait être au rendez-vous. « Rodman : For Better of Worse » sera donc une plongée intime dans l’univers de Dennis Rodman, sur et en dehors des parquets, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a  de quoi avoir l’eau à la bouche. Car oui, Dennis Rodman n’était pas un joueur comme les autres. Monstrueux rebondeur, défenseur exceptionnel sur l’homme comme au poste, energizer ultime, il était clairement dans la catégorie de ceux que l’on préfère avoir dans son équipe plutôt qu’en face. On parle tout de même d’un type qui s’est à peu près foutu sur la gueule avec tous les joueurs de la ligue dans les 80’s et les 90’s, y compris les Scottie Pippen et Michael Jordan lorsqu’il évoluait aux Pistons. Bien entendu, ça ne l’a pas empêché de les rejoindre des années plus tard, donnant naissance à un Big Three absolument iconique !

Car c’était ça Dennis Rodman, un homme aux multiples facettes, capable d’envoyer des patates de forain à un joueur un lundi et de se pointer en robe de mariée en conférence de presse le mardi. Un homme que l’on a retrouvé sur un parking, dans sa voiture, fusil chargé, juste pour « tuer l’ancien Dennis Rodman ». Un joueur passionné qui met sa tête la où personne n’aurait osé mettre la main ou la jambe. Sa jambe lui, Dennis l’envoyait parfois à la gueule des malheureux caméramans placés en bord de terrain… Un homme étrange donc, fervent supporter de Donald Trump et ami intime de Kim Jong-Un (non ce n’est pas une plaisanterie).

Le joueur en revanche était beaucoup plus simple à déchiffrer : de la volonté, du courage, des rebonds par milliers (7 fois meilleur rebondeur de la NBA), de l’agressivité qui allait souvent bien au-delà du règlement et surtout un style unique. The Worm était tout simplement l’un des seuls joueurs au monde capables de transformer la physionomie d’une rencontre sans tenter le moindre tir. Le sale boulot, c’était son affaire, et la sale réputation qui va avec.

 

Vous l’aurez compris : le 10 septembre est une date à entourer sur tout agenda ! Entre focus sur sa carrière, révélations croustillantes, anecdotes en pagaille et hommage, on tient probablement d’avance un petit bijou de documentaire. Pour le meilleur ou pour le pire.

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