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Eric Bledsoe bon perdant : « Terry Rozier a fait une énorme série »

Source photo : Sporting News
Les Bucks ont bel et bien été éliminés au premier tour, cette fois-ci par les Boston Celtics. Forcément frustrés, à l’image de Giannis Antetokounmpo, ils n’en oublient pas pour autant de féliciter leurs adversaires.

Plus particulièrement Eric Bledsoe. Très bon avant hier soir, le meneur a pourtant passé une série bien compliquée dans l’ensemble. La faute à un certain Terry Rozier, avec qui une vraie petite rivalité a été créé depuis le Game 1. Évoquons les faits. Tout d’abord, Rozier avait écorché le nom de Bledsoe, l’appelant Drew, comme l’ancien grand quarterback des New-England Patriots (juste avant l’ère Tom Brady). Ce qui avait moyennement plu au meneur de Milwaukee, qui avait déclaré ne pas connaître son adversaire.

Après plusieurs accrochages au fil des matchs, les Celtics ont joué la carte de l’humour, avec un message sur les écrans du TD Garden, où on pouvait voir Bledsoe la légende locale exhiber son ancien maillot et déclarer qu’il était bien l’original Bledsoe » ! Superbe taquinerie qui a beaucoup plu à Rozier, surpris de l’initiative. Avant hier soir, on a encore vu de la rivalité, mais surtout beaucoup de respect. En effet, au coup de sifflet final, on a pu voir les deux joueurs s’enlacer, le sourire au visage.

« Ce sont les playoffs. Vous vous attendiez à ce qu’on se serra la main et qu’on s’enlace tout le temps ? Cette merde n’arrivera pas. Il a fait une sacré série. Je dois lui tirer mon chapeau.  » Eric Bledsoe via ESPN

Il est vrai que Terry Rozier aura été incroyable durant toute la série. Pronostiqués perdants au premier tour par certains en raison des blessures de l’effectif, les Celtics ont pu compter sur leur meneur backup pour faire oublier Kyrie Irving et mettre le feu durant les moments importants des playoffs. De quoi ravir Brad Stevens, qui confirme son excellent travail et sa concentration sur une série aussi longue. 17.6 points, 6.7 passes et 4.3 rebonds de moyenne sur la série, autant dire qu’il ne sera probablement pas sous-estimé par les 76ers, leur prochain adversaire.

« On est deux joueurs qui veulent gagner, deux joueurs qui veulent prouver des choses, deux petits meneurs. Pour gagner, il faut recevoir des coups, les donner, se battre, pousser. Ca fait partie du jeu. On a parlé ensemble après la rencontre.  » Terry Rozier

 

Même son de cloche chez les deux rivaux. Le trashtalking fait partie intégrante du Game en NBA et il faut en jouer, rentrer dans la tête de l’adversaire. Mais en dehors du terrain, le respect est toujours présent.
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