Danny Green n’aura joué à Toronto qu’une saison mais quelle saison ! Après une SR parfaite, il aura galéré en playoffs avant de se réveiller au meilleur des moments. Cet été, il en a profité pour « tourner » un documentaire sur le Canada et prenez note, il sortira le 9 septembre !
Il faut savoir qu’un américain qui aime un autre pays que le sien, c’est relativement peu commun. Encore plus quand ce pays est le Canada, avec qui le respect est souvent enterré. Au fil des années, les ricains ont appris à être plus cool et Danny Green en est le parfait symbole. Le documentaire sortira donc le 9 septembre et il s’intitulera « Beyond The Arc ». Des amis, des joueurs et surtout des habitants seront les véritables star de ce documentaire qui s’annonce plus qu’intéressant ! Il a diffusé sur son compte instagram le trailer de son docu. Il n’est pas resté qu’à Toronto cet été mais il est aussi parti à Ottawa, Vancouver ou encore Montreal. On peut voir le bonhomme à la rencontre de la culture canadienne et il faudra regarder ce bijou sur TSN, la chaîne numéro une du pays :
« Cet été, je me suis donné comme priorité d’explorer réellement la culture et d’apprendre à connaître le Canada. Alors oui, je vois tous les tweets » Pourquoi est-il toujours là? « , Et non, je n’ai pas oublié que je suis un Laker lol. Cet été, j’ai le temps de faire connaissance avec un pays qui m’a montré tant d’amour. »
On va paraphraser la chose et se mettre à la place d’un fan des Raptors. Pourquoi s’être barré ? La NBA est un terrible business mais qu’il se rassure, quand il reviendra jouer à Toronto, les fans ne l’oublieront pas et scanderont son nom. Non seulement car il a été important et que c’est tout simplement la culture canadienne. Pour rappel, il a signé un contrat de 30 millions de dollars sur 2 ans, sans doute son dernier gros contrat, surtout qu’il n’est plus tout jeune (32 ans). Il tentera d’être ce stoppeur défensif à Los Angeles, comme il l’a été à Toronto et San Antonio, tout en étant une grosse gâchette. Son exercice précédent ne fut pas loin d’une saison type redemption, après quelques saisons galères : 10.3 points à 46.5% au shoot et 45.5% à 3 points, sans oublier ses 4 rebonds et 1.6 passes par match.