Tout histoire qui rencontre un mais, n’est jamais une bonne histoire. En ce qui concerne la NBA, il y a aussi un mais et l’happy end pourrait ne pas avoir lieu au sein de la ligue nord américaine.
La NBA est back on track le 31 juillet, du moins en principe. Peu importe ce qui se passe en floride, la NBA est allée trop loin dans l’optique de reprendre, pour revenir en arrière et a surtout trop à perdre en cas de « sit-out ». En mettant de côté la peur de se blesser ou les joueurs qui veulent rester en dehors de la floride, pour lutter contre les inégalités raciales, il y a le point le plus important pour les à ne pas mettre de côté : la coronavirus. Les cas ne cessent d’augmenter dans l’état où réside Mickey et les joueurs ont peur de contracter le virus. Les salariés peuvent aller et venir comme ils peuvent, les joueurs savent qu’ils sont en première ligne et ne veulent pas risquer leur santé, pour ne pas dire leur vie.
Le business met toujours une sorte de pression dans le monde du sport et les pertes pourraient être immenses. La NBA perdra jusqu’à 2 billions de dollars si la reste de la saison est annulée. Les joueurs perdront 1.25 billions de dollars AU MINIMUM. Si ces sommes sont incroyables, cela ne pourrait être que le début d’une guerre… Sans parler des futurs contrats qui seront revus à la baisse. En cas de reprise avortée, le lockout ne sera pas une option mais le scénario obligatoire. Cette fois, les joueurs n’auront pas l’avantage et la situation traînera avec des proprios qui joueront la montre.