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Bradley Beal demande du respect sur le nom de Russell Westbrook : « C’est un MVP, je m’assois et je me la ferme »

Les Wizards vont nettement mieux et ont les cojones pour aller au bout de la saison régulière et se qualifier en playoffs. Bradley Beal a voulu rendre hommage à son coéquipier Russell Westbrook, toujours autant critiqué, malgré les années.

Russ peut rappeler dans un sens Allen Iverson, soit on l’aime, soit on le déteste. Si tout le monde valide A.I aujourd’hui, en 2021, ce n’était absolument pas le cas à l’époque. Croqueur, soliste, parfois désintéressé, les points communs sont nombreux et les médias adoraient l’allumer. Les critiques envers Russell Westbrook étaient assez dures cette saison et en playoffs 2020, puisqu’il n’était pas à 100%. Il peut compter sur Bradley Beal pour le soutenir. À l’écoute de Rachel Nichols, Kendrick Perkins ou bien encore Vince Carter, Bealou pense que sa réputation de mauvais gars ou de mauvais coéquipier n’est qu’une tendre illusion, Brodie est le meilleur :

« J’ai un gars qui me dit à chaque instant du match » Pousse, B. Pousse, B.  » Il est sur moi à chaque seconde et c’est motivant car c’est un MVP alors je m’assois, je me la ferme et j’écoute chaque fois qu’il parle. »

Russell Westbrook est un homme passionné alors parfois, son envie gâche tous ses efforts. Il peut passer du match du GOAT, au match le plus vilain du monde. C’est son grand défaut mais à travers les années, on comprend tout simplement qu’il est comme ça. S’il a d’énormes qualités, il faut accepter ses défauts. Mais si les Wizards ont un bilan de 10 victoires pour 5 défaites en ce mois d’avril, le meneur de Washington en est grandement responsable. C’est assez marrant de voir qu’en à peine une saison, Bradley Beal l’a déjà adopté et ce genre de cas se multiplie. Les coéquipiers ont beau dire que l’ancien MVP est le meilleur coéquipier du monde, les médias US veulent en faire le bouc émissaire.

Les Wizards ont un match important cette nuit contre les Lakers, sans Lebron James. L’occasion est parfaite pour commencer une nouvelle série. Le natif de Los Angeles tourne à 21.8 points par match, 11 rebonds et 11 passes décisives !

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  1. Pingback: Russell Westbrook, roi du mois d'avril comme Stephen Curry

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