Si les tops players seront les premiers à être choisis, aux alentours du 10 – 20 juillet, les rôle-players pourront signer quand les équipes les appelleront. Parmi eux, un certain Vince Carter pourrait venir à New-York. Le meilleur dunkeur de l’histoire qui réalise sa tournée d’adieu dans l’antre du basket, ça en jette quand même…
Plus que jamais, les Knicks vont devoir utiliser leur cap space pour ramener des vétérans. Cette équipe est bien trop jeune et il faut un mentor digne de ce nom à RJ Barrett. Qui d’autre que Vince Carter, légende du Canada, jouant au même poste, une grande partie de sa carrière que le jeune rookie, pour être le « tonton » parfait ? On ne sait pas à l’heure actuelle si gros free-agents il y aura ou pas mais si ce n’était pas le cas, cette option est largement à envisager pour aider les jeunes à grandir. Il leur faut des vétérans mais l’équipe doit bien les choisir. VC a réalisé un job monstrueux à ce niveau, notamment avec Trae Young et il est certain que les Hawks auront la priorité mais avec l’arrivée de Reddish et Turner, Carter n’aura peut être pas beaucoup de temps de jeu. Selon l’insider de New-York, Ian Bagley, Vinsanity est plus qu’une possibilité du côté de la grosse pomme :
« Carter a beaucoup parlé avec le coach David Fizdale et signer à New-York était une sérieuse possibilité l’an passé. Carter avait choisi de signer avec les jeunes Hawks.
Il y avait plusieurs facteurs dans sa décision, mais l’une d’entre elles était l’idée qu’il soit proche des studios NBA parce qu’il a le désir de continuer sa carrière dans les médias quand il sera retraité. Cela vaut la peine de le mentionné car il pourrait trouver des opportunités à New-York »
Ce n’est une surprise pour personne. Vince Carter adore le métier de journaliste, de commentateur. Tous les ans, il vient expliquer le jeu durant les finales NBA. Pendant les summers leagues, il fait de même pour les jeunes de son équipe, où qu’il soit. Alors quand l’argument NBA TV est mis sur le tapis, ce n’est pas vraiment nouveau pour l’ami Vince. Il est certain qu’un jour il sera coach, car il aime bien trop le basket mais il se pourrait qu’il ait une carrière de commentateur pendant un sacré bout de temps et s’il peut nous remplacer Chris Webber et compagnie, on ne dira pas non. Mais New-York a sans doute d’autres chats à fouetter pour le moment et on restera à l’affût car une telle légende dans une telle équipe, bonjour les prix des billets.