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Un jour, une anecdote : quand Tony Parker a failli faire équipe avec Jason Kidd aux Spurs

C’est reparti pour une nouvelle anecdote. Pour s’occuper pendant ce confinement et surtout apprendre sur le monde de la NBA, on se transforme en professeur. 

Tony Parker et Jason Kidd ont été des sacrés rivaux. Sans faire offense à Steve Nash, ceux qui ont dominé les années 2000 sur la longévité, ce sont bien eux à leur poste. La finale NBA entre San Antonio et New-Jersey, puis quand J-Kidd a débarqué chez les Mavs. Sauf qu’avant de s’affronter en 2003 en finale NBA, l’exercice 2001-2002 aurait pu être un vrai tournant dans la carrière de Tony Parker. Jason Kidd débarque à San Antonio, Tim Duncan lui sert de guide et les rumeurs qu’entendaient Tony Parker étaient vraies. J-Kidd allait venir chez les Spurs… Malheureusement, ça ne s’est jamais fait. Le plan était le suivant, Gregg Popovich voulait que Tony Parker joue au poste 2, de par son talent inné du scoring. Pendant ce temps, Jason Kidd allait jouer meneur de jeu car il était tout simplement le meilleur à ce poste, des deux côtés du terrain.

Apprenant la nouvelle, Tony Parker n’était pas vraiment d’accord avec ça. Cela ne s’est finalement pas fait comme le raconte Jason Kidd :  « Je pensais que j’allais être un joueur des Spur. Je m’étais engagé durant mon séjour là-bas. pendant mon vol retour, je pense que j’ai commence à me réfléchir. Et parfois j’y pense encore: peut-être que j’aurais gagné un ou deux titres là-bas. Heureusement, j’en ai gagné un avec Dallas. Mais j’y pense et je regrette parfois. J’aurais voulu savoir si j’aurais pu remporter un titre avec San Antonio. » Jason Kidd aurait fait de Tony un grand joueur. « Monsieur triple-double » pouvait défendre sur tous les postes extérieurs, il aurait rendu meilleur ses coéquipiers, comme il l’a fait avec chaque équipe. Tony P n’aurait peut être pas apprécié et son évolution aussi. Un nouveau what if à mettre dans le coffre.

Les deux ont eu une très belle carrière et c’est un rappel pour montrer à quel point le succès d’un joueur ne se fait pas qu’au talent. Le coéquipier, le front office, le coach, tous ces facteurs sont aussi importants les uns que les autres. S’il avait atterri à S.A, le numéro 5 légendaire des Nets, aurait sans doute eu la chance de gagner plus qu’un titre NBA.

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