Connect with us

Actualités

Stephen Curry montre sa vulnérabilité et évoque un syndrome de l’imposteur

NBA – Stephen Curry, ce génie du shoot à 3 points, vient de nous sortir un truc qui fait l’effet d’un airball : il doute de lui. Oui, le gars qui fait trembler les filets comme personne avoue parfois se sentir… imposteur. Même les plus grands ont leurs doutes, apparemment.

Stephen Curry, c’est un joueur au palmarès impressionnant. 4 titres NBA, 2 MVP, médaillé d’or olympique, bref, un mec qui a tout gagné. Pourtant, dans une interview récente avec Alex Sherman sur CNBC, il a lâché :

« Je suis humain comme tout le monde, on a des doutes sur soi-même, on a parfois le syndrome de l’imposteur ».

Et quand on lui demande si c’est fréquent, il répond cash :

« Parfois, oui. »

Voilà la punchline. Pas de fausse modestie, juste un gars qui assume ses moments de fragilité malgré la pression d’être leader des Warriors.

Pour Stephen Curry qui a déjà un plan pour sa retraite, être une superstar NBA, ce n’est pas juste empiler les points.C’est aussi jongler avec ses rôles de papa poule pour ses quatre enfants, mari attentionné pour Ayesha, et modèle incontournable pour toute une génération de fans. Avec cette pression constante entre ce qu’il attend de lui-même, ce que les fans espèrent, et les médias qui scrutent tous les doutes s’invitent facilement. « Est-ce que je fais assez ? Est-ce que je gère bien ma famille ? » Ce sont les vraies questions qui tournent en boucle loin des flashs et des caméras. Cette part d’humanité cachée derrière ses shoots clutch et ses records montre qu’au fond, même une légende peut parfois se sentir vulnérable.

Au final, Stephen Curry prouve que même une légende peut avoir le syndrome de l’imposteur. C’est ça qui est rassurant. Parce qu’après tout, personne n’a jamais marqué un tir à trois points avec une confiance aveugle 24/7. Alors, chapeau bas à la star des Warriors qui nous rappelle qu’il faut parfois douter pour mieux briller. Et avec un peu de chance, ses doutes feront bientôt place à un cinquième titre NBA. Parce qu’au basket comme dans la vie, la magie opère souvent quand on accepte d’être imparfait.

Le coach de l’équipe de France craque sur Alex Sarr et Zaccharie Risacher : « Pour la sélection finale, ce sera bien sûr autre chose. »

 

Click to comment

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Nouvelle superstar d’ESPN, l’histoire incroyable de Malika Andrews







More in Actualités