Le Jazz n’avait qu’un objectif, gagner le match. La franchise de Donovan Mitchell veut faire le break, après avoir récupéré l’avantage du terrain. Rudy Gobert est allé claquer un contre assez fou sur le malheureux du soir, Josh Green. C’est ce qu’on appelle un moment « Welcome to the playoffs ».
Marcus Smart a été élu meilleur défenseur de l’année. Un trophée plus que mérité et Rudy Gobert ne termine que 3ème dans la course mais cela prouve aussi qu’il est toujours considéré parmi l’élite. Parmi les duels auquel il est confronté, il y a ce matchup face à Josh Green. Le remplaçant rookie n’avait pas mis un shoot au match 1. Le 1er année est un peu sous pression, sans aucune expérience, Green force parfois la pénétration quand il ne met pas ses shoots. Talentueux, le garçon devra être surveillé de près dans les années à venir et les Mavericks ont intérêt à bien le développer. Lors de la première mi-temps, il pensait avoir fait le plus dur, en claquant un spin-move. Si ce n’était pas Rudy Gobert en face, le panier serait rentré dans 99% des cas. Quand il monte au panier, Gobert est carrément en touche et pourtant, grâce à sa détente, la taille de ses bras et son timing, il arrive à asséner un contrer violent.
A l’image de Marcus Smart, c’est un bel exemple pour tous les jeunes basketteurs et basketteuses, qu’il ne faut jamais lâcher une seconde une possession. Rudy Gobert avait aussi peut être un message à faire passer, après n’avoir fini « que » 3ème, lui qui convoitait le trophée.
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