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Pascal Siakam encense Indiana : “J’ai retrouvé la joie, le plaisir, le bonheur d’être sur le terrain.”

NBA – Pascal Siakam n’a pas levé le trophée mais il est reparti avec autre chose. Une fierté XXL et une sincérité qui pourrait faire pleurer un défenseur du Heat. Il n’a pas mâché ses mots après la défaite d’Indiana en Finales NBA. Pas de langue de bois, juste du vécu, des émotions et un hommage poignant à un vestiaire qu’il n’est pas près d’oublier.

Il aurait pu s’effondrer comme le tendon de son meneur. Mais non. Pascal Siakam a encaissé, relevé la tête et parlé. Indiana s’est fait couper les ailes en plein vol, mais ce vestiaire n’a jamais lâché. Pascal Siakam, lui, incarne cette équipe. Un bloc soudé, qui a mangé la critique et recraché du respect. Il ne fait pas semblant. Il voulait cette victoire pour Tyrese Haliburton, pour les fans, pour la ville. Pascal Siakam l’a pas eue. Mais il est sorti comme un soldat.

L’émotion monte quand Pascal Siakam évoque Tyrese Haliburton. Il le décrit comme un frère de bataille, un jeune qui a tout donné et qui, malgré les critiques, a porté Indiana sur ses épaules. Mais surtout, il livre un passage fort sur sa propre trajectoire, bien plus intime qu’un simple commentaire post-match. 

« Il y a quelques années, le basket était devenu quelque chose de sombre pour moi. Ce n’était plus fun du tout. Puis j’ai été échangé ici, et ces gars m’ont redonné de l’énergie. J’ai retrouvé la joie, le plaisir, le bonheur d’être sur le terrain.»

Voilà. Ce n’est pas juste une finale perdue. C’est un mec qui s’est retrouvé grâce à un gamin de 25 ans, dans un État qui mange du basket au petit déj.

À l’entendre, on croirait qu’Indiana lui a sauvé la carrière. Peut-être même un peu plus. Ce n’est pas juste une année de Playoffs réussie, c’est une renaissance. Une équipe qui joue ensemble, un vestiaire qui respire la vie, une ville qui croit encore à l’effort collectif. Pascal Siakam s’est battu jusqu’à la dernière possession, mais ce qu’il retient, c’est ce qu’il a reçu. Pas les stats, pas les trophées. De l’amour du jeu. Et ça, ça ne rentre pas dans une case du boxscore.

Pas de confettis pour Pascal Siakam, mais un comeback émotionnel qui vaut bien un buzzer-beater. Le bonhomme a retrouvé la lumière dans un coin paumé du Midwest, et franchement ? Ça vaut toutes les bagues en toc du marché chinois. Merci Indy, merci Tyrese et big up à Siakam pour avoir joué avec le cœur aussi fort que les jambes.

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