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Maxime Raynaud impose sa puissance pour ses débuts en Summer League

NBA – Maxime Raynaud a débarqué à Las Vegas comme un ouragan franc-tireur, prêt à semer le chaos dans la Summer League. Pas besoin de cape ni de costume, juste un shoot précis, une énergie folle et ce regard de guerrier. Face à Orlando, il n’a pas fait dans la demi-mesure, laissant déjà entendre que Sacramento tient peut-être son prochain boss du ring.

Maxime Raynaud n’a pas fait dans la demi-mesure pour sa première apparition en Summer League. Dès les premières minutes, il a planté, drivé, distribué, et verrouillé. Le Frenchie de Sacramento a montré que, même drafté tard, il compte bien faire du bruit. Face à son compatriote Noah Penda, il a mis les choses au clair et surtout sur le parquet.

Dès l’entame du match, Maxime Raynaud a chauffé la salle avec un premier quart-temps de folie, inscrivant 11 points en 4 minutes à 100% aux tirs. Sans oublier d’ajouter des rebonds et des interceptions pour bien rappeler qu’il n’est pas juste un scoreur. Puis, le grand pivot a su calmer le jeu, dosant son énergie tout en gardant son impact. Notamment lors d’un run de 14-0 qui a creusé l’écart pour les Kings. Derrière lui, l’équipe s’appuie sur des rookies affamés, et le GM Scott Perry ne tarit pas d’éloges. 

« Maxime est un bosseur intelligent, toujours là où il faut, avec un potentiel illimité. »

Côté Magic, Noah Penda n’a pas démérité avec 8 points et plusieurs passes, mais face à l’intensité et à la précision de Maxime Raynaud, la balance a penché du côté de Sacramento. La victoire serrée (84-81) montre que le Français peut déjà peser dans la rotation, même si ce n’est que le début.

Sacramento peut largement savourer. Maxime Raynaud, leur nouveau « Mad Max », est déjà là pour tout casser. Alliant énergie brute et finesse technique, il impose sa présence sur le terrain et montre qu’il ne compte pas ralentir de sitôt. Clairement, ce n’est que le début d’une belle aventure pour le jeune Français.

Après ce premier round, Maxime Raynaud a clairement envoyé un message. Oubliez les timides débuts, ici c’est du « Mad Max » puissance 1000. Si c’est ça son échauffement, on a hâte de voir la suite. Le jeune Français a planté ses crocs, et mieux vaut ne pas être dans son collimateur. Sacrée nouvelle recrue, Sacramento peut déjà se frotter les mains.

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