A Houston, James Harden s’est trouvé une maison, quelques stripteaseuses et il ne s’est pas trouvé de bague. Pourtant, les Rockets ont tenté, ont tenté, sans jamais gagner le titre sous son ère. Toujours un Steph Curry, un LeBron James, une cuisse qui traîne par ci ou par là et quelques chokes bien sentis.
Nouveau coach, nouveau general manager mais ça ne change rien aux idées des Rockets : James Harden est dans son prime, la franchise ne veut pas le gâcher et continuera de faire son maximum pour aider le barbu à gagner le titre suprême. Un titre qui pourrait le faire changer de dimension. Le propriétaire des Rockets ne veut donc le transférer sous aucun prétexte comme l’ont rapporté les médias.
Pour l’instant, il y a eu de multiples tentatives sous les ordres de Mike D’Antoni et Daryl Morey (small-ball, Chris Paul, Russell Westbrook), et aucune n’a été payante pour gravir la dernière marche. Alors, Houston n’a pas dit son dernier mot et va persévérer. Ce que fait James Harden d’un point de vue individuel depuis cinq ans n’est pas commun chez tous les joueurs de la ligue. On a peut-être tendance à oublier qu’il est incontestablement sur le podium du MVP chaque année. Pourra t-il maintenir ce même niveau encore longtemps ? Une blessure, la vieillesse, rien est si sûr surtout quand on ne se nomme pas Lebron James. Et puis, notons qu’il est éventuellement à deux ans de la fin de son contrat (player option en 2022).