NBA – LeBron James, coach NBA ? Oubliez tout de suite l’image du King en costard, tablette à la main, criant des ordres depuis le banc. Ce scénario tient autant du fantasme que d’un tir manqué de Curry sur la ligne des lancers. Clairement, LeBron James ne compte pas enfiler ce rôle, au grand dam des fans qui imaginaient déjà sa carrière sur le banc.
Depuis deux décennies, LeBron James joue les chefs d’orchestre avec la précision d’un métronome. Il dicte les systèmes, corrige les placements. Il engueule un switch raté et interrompt les temps morts comme s’il avait déjà un tableau tactique à la main. Sur le parquet, c’est un peu Gregg Popovich coincé dans le corps d’un cyborg. Et quand il coachait ses fils sur les parquets AAU, c’était limite plus intense qu’un Game 7.
Bref, tout annonçait une suite logique. Un costard, un banc NBA, et des confs d’après-match musclées.
“C’est mort ! Impossible les gars. Ça n’arrivera pas, peu importe l’équipe ! Aucune chance.”
Et même Steve Nash, qui a goûté à la galère de coach aux Nets, a validé l’idée.
Alors pourquoi refuser un poste qui semble taillé pour lui ? D’abord parce que LeBron James, même à 40 ans, joue encore comme un cyborg sous carburant interstellaire. Ensuite, parce qu’il n’a pas besoin d’un banc pour rester influent. Le bonhomme vaut déjà plus d’un milliard, a un QI basket légendaire, un carnet d’adresses long comme une saison régulière et des envies de contrôle XXL. On l’imagine donc plus en train de signer des chèques qu’en train de demander un pick-and-roll côté faible.
🏀 #NBAextra
❌ LeBron James ne veut pas coacher !
💬 « Aucune équipe, zéro chance »
🤣 « C’est normal, ça fait déjà 15 ans qu’il coache ! » pic.twitter.com/X0AZ1T09q7— NBAextra (@NBAextra) June 17, 2025
Le King veut rester dans le basket, mais à sa manière. Et on peut le comprendre. Pourquoi supporter les rotations à 7 joueurs en back-to-back ou les humeurs d’un rookie quand on peut diriger une franchise entière depuis un bureau climatisé ? Son rêve ? Posséder sa propre équipe NBA et pourquoi pas à Las Vegas. Le coaching, c’est pour les autres. LeBron James vise plus haut.
Voilà un homme qui a refusé un poste avant même qu’on le lui propose. Du LeBron James pur jus. Coach ? Pas question. À ce rythme, il va décliner aussi la présidence des États-Unis avant qu’on lui demande. Le King a parlé, les bancs resteront froids. Mais les salles, elles, risquent encore de chauffer un moment.
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