
NBA – 10 secondes au chrono, 1 point d’écart. C’est ce qu’on appelle une fin de match serrée. C’était le cas hier soir dans le match Lakers @ Wolves, où la tension était à son comble dans les dernières secondes de la rencontre. Alors que les Lakers étaient encore au coude-à-coude avec les Wolves, une action défensive de LeBron James sur Anthony Edwards, a provoqué de l’incompréhension et des débats. Une décision arbitrale que la superstar des Lakers a encore du mal à comprendre.
« Ce genre d’action arrive tout le temps, vous savez. La main fait partie du ballon, c’est ce qu’on nous dit. J’ai eu l’impression que sa main faisait partie du ballon. J’ai réussi à toucher sa main sur le dessus du ballon, le ballon est descendu et est sorti. J’ai vu ce type d’action des tas de fois auparavant, mais bon… c’est comme ça. »
Sur l’action litigieuse, LeBron James intervient au moment où Anthony Edwards glisse en bout de course. D’un geste rapide, il vient frapper le ballon, tout en touchant la main d’Edwards. Dans un premier temps, les arbitres donnent sortie de balle et ballon Lakers. Mais Chris Finch ne l’entend pas de cette oreille et décide d’utiliser son challenge. Résultat : décision retournée, faute pour LeBron et lancers francs pour Ant Man… ça change tout ! Mais pour LeBron, comme pour de nombreux observateurs, ce type d’intervention est monnaie courante et souvent tolérée. La main qui est sur le ballon ferait partie du ballon et le contact ne serait donc pas illégale. Il faut avouer que chaque soir on y a le droit et c’est rarement la même issue à chaque fois.
En conférence de presse, avec ses 46 minutes dans les jambes, LeBron a exprimé son incompréhension : « Cette action arrive tout le temps. On dit que la main fait partie du ballon. J’ai senti que ma main était sur le ballon, j’ai réussi à le toucher au-dessus, le ballon est descendu et est sorti ». Une déclaration qui traduit toute sa frustration face à un coup du sort difficile à accepter dans un moment aussi crucial.
À 40 ans, LeBron James continue de tout donner sur le parquet. Il sort des stats incroyables et, malgré un money time mal géré hier, repousse les limites du possible. Mais même pour une légende, les décisions arbitrales restent parfois impitoyables.

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