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La nuit des Frenchies en WNBA : Gabby Williams et Marine Johannès font le show des deux côtés du parquet

WNBA – Quand la NBA fête ses nouveaux champions, la WNBA s’éclate et les Françaises aussi ! Dans un duel Seattle – New York qui sentait bon la baguette, nos tricolores ont mis le feu. Gabby Williams en mode chef d’orchestre, Marine Johannès en sniper chirurgicale et Dominique Malonga qui sort du banc comme une tornade.

Ce qu’a fait Gabby Williams cette nuit ? C’est ce qu’on appelle un performance All-Star. Loin d’être en réussite au shoot (4/16), elle a régné sur le parquet comme une reine sur son échiquier : 12 points, 10 caviars, 6 rebonds, 4 interceptions, et surtout une rage de vaincre qu’on sentait à travers l’écran. La balle ne collait plus aux mains de Seattle ? C’est elle qui l’arrachait. Il fallait un panier décisif ? C’est elle qui trouvait Nneka Ogwumike. À la fin, c’est toujours Gabby Williams. Et le Storm peut lever les bras : sa patronne porte un passeport français.

Pas de Sabrina Ionescu ? Aucun souci. Marine Johannès a enfilé la cape de super-héroïne et fait cramer le parquet comme un barbecue le 14 juillet. 7/7 au tir en début de match, 3/3 à trois points, un step-back au corner qui a fait hurler les slow-motions et une classe folle dans chaque mouvement. 17 points d’une pureté clinique, un rythme imposé comme une cheffe d’orchestre… mais au bout ? La défaite. Car après l’ouragan Marine Johannès, New York a craqué. Le souffle s’est éteint, Seattle a repris la main, et Marine Johannès a dû ranger sa cape. L’incendie était beau, mais n’a pas suffi à sauver le Liberty du naufrage.

Et derrière les stars, y’a Dominique Malonga. La rookie n’a besoin que de 7 minutes pour poser 6 points et 4 rebonds avec une intensité folle. La gamine est partout, elle gratte des ballons, finit sous le cercle et montre qu’à 18 piges, elle peut déjà peser en WNBA. Mais au-delà de ce match, c’est toute la génération française qui brille cette saison. Gabby Williams en mode leader à Seattle. Marine Johannès tourne à plein régime quand on lui donne du temps de jeu. Carla Leite qui affole les compteurs à Golden State. La WNBA parle français. Et c’est pas près de s’arrêter.

Elles ne sont plus là pour apprendre, elles sont là pour marquer la ligue. Marine Johannès met le feu, Gabby Williams distribue comme Chris Paul sous caféine. Dominique Malonga croque ses minutes comme une mort de faim. La France a ses reines et la WNBA commence sérieusement à parler avec un accent. Oubliez les « Frenchies » mignonnes en mission découverte. C’est une invasion organisée. Et personne ne défend là-dessus.

Gabby Williams évoque l’inspiration qu’est Marine Johannès : « Son rêve était de jouer à Mondeville. Regarde où elle est maintenant. »

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