Kendall Jenner avait encore fait des siennes, Ben Simmons : « je suis retombé amoureux du jeu »

Source photo : Bleacher Report

Alors qu’il donnait l’impression d’être toujours le vrai Ben Simmons, le meneur de Philadelphie explique qu’il avait perdu son amour du jeu. Fort heureusement pour lui et Philly, ça va mieux pour l’Australien. 

Les prestations de Ben Simmons ont été très bonnes la saison dernière. Pourtant, l’Australien n’était pas au top du top mentalement. En effet, le meneur des Sixers avait perdu son amour du jeu, mais c’est désormais derrière lui sachant que le gaucher et le basket sont de nouveau amoureux. 

J’ai l’impression que cet été je suis retombé amoureux du jeu. Je suis plus ou moins retourné à celui que j’étais, j’ai repris du plaisir en jouant. J’ai le sentiment que la saison dernière, j’ai perdu ce plaisir mais cet été a été important pour moi. Je suis retombé amoureux du travail, j’étais à la salle tous les jours et ça a payé donc je suis impatient de démarrer la saison.

Il faut dire qu’on ne s’y attendait pas à celle-là. Rookie de l’année en 2018, All-Star en 2019, une progression phénoménale, et toujours cette petite arrogance en lui, Ben Simmons donnait l’impression d’une sérénité folle, et il donnait surtout l’impression d’être toujours le même. 

Prolongé au début de l’intersaison pour 170 millions sur cinq ans, l’Australien donne satisfaction sur le terrain avec 16.4 points, 8.5 rebonds et 7.9 passes, sans oublier les 22 triple-doubles sur les deux dernières saison. En l’espace de deux saisons, le gaucher est très haut dans la hiérarchie des meneurs de la ligue.

Cependant, Ben Simmons a peut-être retrouvé son amour pour le jeu en se concentrant sur lui, et en mettant à l’écart les critiques/moqueries à son sujet sur le shoot à trois points notamment. Mais lorsqu’il n’y a pas le tir primé, il y a Kendall Jenner ! 

Il est difficile de trouver des raisons à cette perte de l’amour du jeu car Ben Simmons est encore jeune malgré tout. Alors que d’habitude, ça peut notamment venir par la lassitude. Or, malgré la répétition des matchs, des voyages, etc, le meneur n’a que deux (vraies) saisons dans les pattes.